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Critique de svecs
Du Gaiman pur jus, qui s'amuse d'histoires enchassées et en mélangeant les univers.
Au coeur du "premier meurtre" se trouve une intrigue classique. Un corps est découvert. La nature du décès ne fait guère de doute. Un enquêteur interroge les témoins et tente de dénouer le vrai du faux pour confondre le tueur. Cela pourrait presque être une enquête d'Hercule Poirot. Sauf que Neil Gaiman brouille les cartes en situant son récit dans un contexte original, et de lui donner une signification surprenante. Mais en plus d'une dimension quasi métaphysique, Gaiman l'utilise également pour traiter d'un sujet on ne peut plus terre-à-terre.
Un homme se remémore un souvenir, une nuit étrange à LA, alors qu'il attendait de pouvoir rentrer en Angleterre.
Une nuit commencée par une soirée chez une ex dont il ne garde guère de souvenir.
Par contre, il se souvient de ce vieil homme rencontré sur un banc, au beau milieu de la nuit. Un vieillard étrange, qui n'a pas l'air d''un SDF, mais qui semble n'avoir nulle part où aller, et qui lui raconte une histoire en échange de quelques cigarettes.
Une drôle d'histoire, qu'il raconte comme si'l s'agissait de la sienne.
Une histoire du meurtre.
La victime retrouvée dans la rue d'une ville de cristal, il y a bien longtemps.
Bien avant l'univers.
Les Anges travaillaient encore à définir les concepts de l'Univers, qui n'existait encore qu'au stade d'ébauche.
Ce meurtre fut le premier meurtre.
Celui d'un Ange.
C'était avant la Chute.
Il s'agit au départ d'une nouvelle que Craig P Russel a adapté, comme il l'a déjà fait avec d'autres romans et nouvelles de Neil Gaiman (Coraline, Sandman: les chasseurs de rêves...). Il n' s'agit donc pas d'un scénario original de Gaiman, mais on y retrouve bien la patte du créateur de Sandman.
Au coeur du "premier meurtre" se trouve une intrigue classique. Un corps est découvert. La nature du décès ne fait guère de doute. Un enquêteur interroge les témoins et tente de dénouer le vrai du faux pour confondre le tueur. Cela pourrait presque être une enquête d'Hercule Poirot. Sauf que Neil Gaiman brouille les cartes en situant son récit dans un contexte original, et de lui donner une signification surprenante. Mais en plus d'une dimension quasi métaphysique, Gaiman l'utilise également pour traiter d'un sujet on ne peut plus terre-à-terre.
Un homme se remémore un souvenir, une nuit étrange à LA, alors qu'il attendait de pouvoir rentrer en Angleterre.
Une nuit commencée par une soirée chez une ex dont il ne garde guère de souvenir.
Par contre, il se souvient de ce vieil homme rencontré sur un banc, au beau milieu de la nuit. Un vieillard étrange, qui n'a pas l'air d''un SDF, mais qui semble n'avoir nulle part où aller, et qui lui raconte une histoire en échange de quelques cigarettes.
Une drôle d'histoire, qu'il raconte comme si'l s'agissait de la sienne.
Une histoire du meurtre.
La victime retrouvée dans la rue d'une ville de cristal, il y a bien longtemps.
Bien avant l'univers.
Les Anges travaillaient encore à définir les concepts de l'Univers, qui n'existait encore qu'au stade d'ébauche.
Ce meurtre fut le premier meurtre.
Celui d'un Ange.
C'était avant la Chute.
Il s'agit au départ d'une nouvelle que Craig P Russel a adapté, comme il l'a déjà fait avec d'autres romans et nouvelles de Neil Gaiman (Coraline, Sandman: les chasseurs de rêves...). Il n' s'agit donc pas d'un scénario original de Gaiman, mais on y retrouve bien la patte du créateur de Sandman.
