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J'ai une dette envers Neil Gaiman.
Oh, trois fois rien !
Avant de lire L'océan au bout du chemin, je pensais que la littérature de genre, notamment la Fantasy, ne s'adressait pas à tous les publics. Pas à un public mâture en tout cas !
Donc pas à moi
J'ouvre Vu des pop cultures avec infiniment de curiosité. Et de repentir !
Il s'agit d'un recueil d'essais, de préfaces, de textes choisis au hasard des bons mots et des discours marquants. Trente ans que le bonhomme écrit, le travail a dû être considérable !
Je découvre sa vision du métier, sa discipline d'écriture. Ces confidences-là, par des auteurs que j'admire, me fascinent. Je compare, je m'étonne, m'émerveille. Envisage de tenter çi ou ça, pour finalement garder mes bonnes vieilles méthodes perso.
Son combat pour préserver les bibliothèques de quartier, les petites librairies...
Et puis je comprends comment il est parvenu à me réconcilier avec la Fantasy. Chaque histoire racontée est une allégorie. L'océan au bout du chemin a été une évidence, en ce sens. Et Gaiman excelle à ranimer l'enfant en vous. Celui qui a peur du noir. Celui qui fait un voeu et celui qui a encore toutes les témérités.
Sans jamais sombrer dans les clichés fantastiques. Et avec du style, s'il vous plaît !
Critique de Jo_Ly
J'ai une dette envers Neil Gaiman.
Oh, trois fois rien !
Avant de lire L'océan au bout du chemin, je pensais que la littérature de genre, notamment la Fantasy, ne s'adressait pas à tous les publics. Pas à un public mâture en tout cas !
Donc pas à moi
J'ouvre Vu des pop cultures avec infiniment de curiosité. Et de repentir !
Il s'agit d'un recueil d'essais, de préfaces, de textes choisis au hasard des bons mots et des discours marquants. Trente ans que le bonhomme écrit, le travail a dû être considérable !
Je découvre sa vision du métier, sa discipline d'écriture. Ces confidences-là, par des auteurs que j'admire, me fascinent. Je compare, je m'étonne, m'émerveille. Envisage de tenter çi ou ça, pour finalement garder mes bonnes vieilles méthodes perso.
Son combat pour préserver les bibliothèques de quartier, les petites librairies...
Et puis je comprends comment il est parvenu à me réconcilier avec la Fantasy. Chaque histoire racontée est une allégorie. L'océan au bout du chemin a été une évidence, en ce sens. Et Gaiman excelle à ranimer l'enfant en vous. Celui qui a peur du noir. Celui qui fait un voeu et celui qui a encore toutes les témérités.
Sans jamais sombrer dans les clichés fantastiques. Et avec du style, s'il vous plaît !
