>
Critique de Darjeelingdo
La célèbre mannequin londonienne Lula Landry est retrouvée morte, défenestrée, une nuit d'hiver. La police conclut à un suicide. Persuadé qu'il s'agit d'un meurtre, le frère de la victime engage un détective privé, Cormoran Strike, pour mener l'enquête.
Une intrigue très classique pour un policier à la Agatha Christie qui vaut surtout pour la galerie de personnages que l'on rencontre au long des 570 pages du roman…À commencer par le duo du détective Strike et de Robin, sa secrétaire intérimaire : un privé vétéran de la guerre en Afghanistan, méchamment largué par sa fiancée, criblé de dettes, bref au fond du trou quand commence l'histoire et une jeune secrétaire futée et passionnée qui va se révéler une aide précieuse pour la toute nouvelle enquête .
L'histoire nous balade dans Londres , ses quartiers chics ou moins plaisants, et dans le monde de la mode , du showbiz et des paparazzi.
Robert Galbraith est un pseudonyme que JK Rowling a choisi pour publier anonymement ce premier policier , après le succès mitigé d' « Une place à prendre » , son premier livre post Harry Potter. J'avais beaucoup aimé la saga des Harry Potter, lus en même temps que mes filles à leur sortie, et l'imagination débordante de JK Rowling pour inventer un univers fabuleux. Je n'avais pas beaucoup apprécié « Une place à prendre » et je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec « L'appel du coucou » choisi pour cocher une case du Challenge solidaire 2024 …
Verdict : si l'on est loin de la plume inventive des Harry Potter on retrouve malgré tout la « patte » Rowling dans la façon dont elle croque ses personnages, y compris les plus stéréotypés comme le couturier maniéré ou le petit ami traqué par les paparazzi, et par le côté descriptif et le style fluide du roman . Un peu lent à démarrer , mais il faut bien mettre en place les personnages, il y a bien quelques longueurs mais c'est dans l'ensemble assez efficace et j'avoue n'avoir pas deviné la fin.
L'appel du coucou est le premier d'une série de sept livres et j'essaierai peut être le second pour voir comment évolue le duo Strike / Robin
Une lecture détente entre des livres plus exigeants.
Une intrigue très classique pour un policier à la Agatha Christie qui vaut surtout pour la galerie de personnages que l'on rencontre au long des 570 pages du roman…À commencer par le duo du détective Strike et de Robin, sa secrétaire intérimaire : un privé vétéran de la guerre en Afghanistan, méchamment largué par sa fiancée, criblé de dettes, bref au fond du trou quand commence l'histoire et une jeune secrétaire futée et passionnée qui va se révéler une aide précieuse pour la toute nouvelle enquête .
L'histoire nous balade dans Londres , ses quartiers chics ou moins plaisants, et dans le monde de la mode , du showbiz et des paparazzi.
Robert Galbraith est un pseudonyme que JK Rowling a choisi pour publier anonymement ce premier policier , après le succès mitigé d' « Une place à prendre » , son premier livre post Harry Potter. J'avais beaucoup aimé la saga des Harry Potter, lus en même temps que mes filles à leur sortie, et l'imagination débordante de JK Rowling pour inventer un univers fabuleux. Je n'avais pas beaucoup apprécié « Une place à prendre » et je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec « L'appel du coucou » choisi pour cocher une case du Challenge solidaire 2024 …
Verdict : si l'on est loin de la plume inventive des Harry Potter on retrouve malgré tout la « patte » Rowling dans la façon dont elle croque ses personnages, y compris les plus stéréotypés comme le couturier maniéré ou le petit ami traqué par les paparazzi, et par le côté descriptif et le style fluide du roman . Un peu lent à démarrer , mais il faut bien mettre en place les personnages, il y a bien quelques longueurs mais c'est dans l'ensemble assez efficace et j'avoue n'avoir pas deviné la fin.
L'appel du coucou est le premier d'une série de sept livres et j'essaierai peut être le second pour voir comment évolue le duo Strike / Robin
Une lecture détente entre des livres plus exigeants.
