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Critique de Candice42
Mon pressentiment quant à mon appréciation de ce troisième tome s'est confirmé. Je m'attendais à être lassée par les passages consacrés au personnage de Donatella et ce fut le cas. Je m'attendais également à plus apprécier les chapitres du point de vue de Scarlett, et là encore-et heureusement- ce fut le cas. Ce dernier tome nous offre donc le point de vue des deux soeurs et heureusement que les parties de Scarlett étaient là pour donner de l'intérêt à cette lecture, et surtout à son intrigue.
Mon impression finale est donc mitigée à cause de l'arc narratif consacré à la plus jeune des soeurs qui repose à 95 % du temps sur un triangle amoureux très malsain. Dans ces chapitres là, l'intrigue principale est complètement délaissée au profit des « Je l'aime mais il est incapable d'aimer, je ne peux être que l'objet de son obsession et non de son amour » et blablabla. Peut-être que certains trouvent ces histoires compliquées fascinantes, mais ce n'est pas mon cas. Et puis, c'est un peu un comble pour un personnage qui, en début de récit, se refuse à tomber amoureuse et finit par ne penser qu'à ce sujet durant deux tomes complets…
C'est à cause de cette overdose de fascination pour deux mâles alpha malsains que j'ai encore plus apprécié les parties consacrées à Scarlett. Là aussi, l'autrice annonçait un triangle amoureux mais il est vite réglé car le personnage se rend vite compte de son erreur de jugement, ce qui fait que l'intrigue générale n'est pas parasitée par les atermoiements amoureux d'une jeune fille qui n'a pas le courage de s'avouer ce qu'elle veut vraiment. Ainsi, l'histoire avance réellement uniquement durant ces parties, les quêtes de Donatella se résolvant bien vite et étant toujours rattachées à l'un de ses deux « love interests », ce qui leur donne un côté lassant.
Je suis quand même bien contente d'avoir eu le fin mot de l'histoire en VF même si la frustration passée de ne pas avoir la possibilité de découvrir cet ouvrage en français a sûrement joué sur mes attentes. Celles-ci étaient donc assez hautes car j'avais adoré le premier tome avant d'être très mitigée à la lecture du second. Pour moi, le personnage de Donatella a complètement gâché l'intrigue et l'arc autour des Fatalités aurait pu être amené différemment afin que Scarlett conserve son rôle de personnage principal. J'ai passé l'âge de suivre des gamines de 16 ans qui disent vouloir s'amuser et s'affranchir des règles tout en étant prisonnières de leurs véritables envies qu'elles n'osent s'avouer. Ce sont des protagonistes qui ne font que tourner en rond et changer d'avis pour maintenir l'intérêt des lecteurs qui aiment que des bad boys se battent pour l'amour de la Belle. Cela a vraiment plombé mon intérêt pour la saga et Donatella aurait dû rester un personnage secondaire, celui de la petite soeur immature et peu farouche qui fonce sans réfléchir et crée plus de problèmes qu'elle n'en résout. Surtout que les passages de son point de vue ne nous aident pas à la découvrir autrement et nous confirment juste ce que l'on soupçonnait à la lecture du premier tome.
Si je devais retenir une chose c'est que le premier tome se suffit à lui-même, la fin ouverte annonçant une intrigue autour de la mère des protagonistes ne représentant qu'un faible pourcentage du récit des deux suivants. L'autrice s'est éparpillée en voulant donner à Donatella le rôle principal de sa saga quand Scarlett était le personnage le plus intéressant et le plus intimement lié à la mythologie autour des Fatalités. Cette mythologie particulière était d'ailleurs très intéressante à découvrir mais trop souvent gâchée par la prédominance d'histoires d'amour étiquetées « c'est compliqué ».
Pour conclure, ce tome final n'est pas mauvais car sauvé par les chapitres consacrés à Scarlett. J'avoue cependant que je survolais ceux dédiés à Donatella car il était certain qu'ils seraient à 95 % parasités par ses histoires de coeur. Et à chaque fois ce sentiment était confirmé...et c'est bien dommage.
Mon impression finale est donc mitigée à cause de l'arc narratif consacré à la plus jeune des soeurs qui repose à 95 % du temps sur un triangle amoureux très malsain. Dans ces chapitres là, l'intrigue principale est complètement délaissée au profit des « Je l'aime mais il est incapable d'aimer, je ne peux être que l'objet de son obsession et non de son amour » et blablabla. Peut-être que certains trouvent ces histoires compliquées fascinantes, mais ce n'est pas mon cas. Et puis, c'est un peu un comble pour un personnage qui, en début de récit, se refuse à tomber amoureuse et finit par ne penser qu'à ce sujet durant deux tomes complets…
C'est à cause de cette overdose de fascination pour deux mâles alpha malsains que j'ai encore plus apprécié les parties consacrées à Scarlett. Là aussi, l'autrice annonçait un triangle amoureux mais il est vite réglé car le personnage se rend vite compte de son erreur de jugement, ce qui fait que l'intrigue générale n'est pas parasitée par les atermoiements amoureux d'une jeune fille qui n'a pas le courage de s'avouer ce qu'elle veut vraiment. Ainsi, l'histoire avance réellement uniquement durant ces parties, les quêtes de Donatella se résolvant bien vite et étant toujours rattachées à l'un de ses deux « love interests », ce qui leur donne un côté lassant.
Je suis quand même bien contente d'avoir eu le fin mot de l'histoire en VF même si la frustration passée de ne pas avoir la possibilité de découvrir cet ouvrage en français a sûrement joué sur mes attentes. Celles-ci étaient donc assez hautes car j'avais adoré le premier tome avant d'être très mitigée à la lecture du second. Pour moi, le personnage de Donatella a complètement gâché l'intrigue et l'arc autour des Fatalités aurait pu être amené différemment afin que Scarlett conserve son rôle de personnage principal. J'ai passé l'âge de suivre des gamines de 16 ans qui disent vouloir s'amuser et s'affranchir des règles tout en étant prisonnières de leurs véritables envies qu'elles n'osent s'avouer. Ce sont des protagonistes qui ne font que tourner en rond et changer d'avis pour maintenir l'intérêt des lecteurs qui aiment que des bad boys se battent pour l'amour de la Belle. Cela a vraiment plombé mon intérêt pour la saga et Donatella aurait dû rester un personnage secondaire, celui de la petite soeur immature et peu farouche qui fonce sans réfléchir et crée plus de problèmes qu'elle n'en résout. Surtout que les passages de son point de vue ne nous aident pas à la découvrir autrement et nous confirment juste ce que l'on soupçonnait à la lecture du premier tome.
Si je devais retenir une chose c'est que le premier tome se suffit à lui-même, la fin ouverte annonçant une intrigue autour de la mère des protagonistes ne représentant qu'un faible pourcentage du récit des deux suivants. L'autrice s'est éparpillée en voulant donner à Donatella le rôle principal de sa saga quand Scarlett était le personnage le plus intéressant et le plus intimement lié à la mythologie autour des Fatalités. Cette mythologie particulière était d'ailleurs très intéressante à découvrir mais trop souvent gâchée par la prédominance d'histoires d'amour étiquetées « c'est compliqué ».
Pour conclure, ce tome final n'est pas mauvais car sauvé par les chapitres consacrés à Scarlett. J'avoue cependant que je survolais ceux dédiés à Donatella car il était certain qu'ils seraient à 95 % parasités par ses histoires de coeur. Et à chaque fois ce sentiment était confirmé...et c'est bien dommage.
