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Critique de JML38
Nicole Frank, Nicky, est victime d'un accident de la route à 5h du matin, et se retrouve dans un ravin dont elle réussit à sortir pour aller à la recherche de sa fille Véro.
Wyatt et Kevin, policiers dans le New Hampshire, déclenchent une opération d'envergure pour retrouver la fillette, mais Annie est catégorique, il y avait qu'une seule personne dans la voiture. Et Annie ne se trompe jamais, car c'est la meilleure chienne de la brigade cynophile et son odorat est infaillible.
Lorsque Thomas, le mari de Nicky, affirme qu'ils n'ont pas d'enfant, les enquêteurs doivent se rendre à l'évidence, la jeune femme est victime d'un syndrome post-commotionnel suite à plusieurs chutes et Véro est « une chimère, une ratée de son cerveau ».
Mais Wyatt Foster n'est pas totalement convaincu. Il soupçonne que le cas de cette femme qui répète « Véro apprend à voler » comme un lancinant leitmotiv, qui a subi plusieurs chutes et un accident de voiture en six mois, est plus complexe que veut bien le dire le mari, d'autant plus que la reconstitution des heures précédant la sortie de route de Nicky laisse planer un sérieux doute sur la chronologie des faits.
Certaines critiques font état d'une intrigue qui se traîne et de beaucoup de répétitions, ce que je n'ai pas du tout ressenti. J'avoue m'être laissé prendre par cette histoire particulièrement addictive. Lorsque je pensais avoir compris avant les policiers – qui eux ont toujours un temps de retard –, c'était pour me rendre compte que je m'étais fait manipuler par l'auteure, et que l'intrigue rebondissait dans une autre direction.
C'est le premier roman de Lisa Gardner que je lis et je reconnais son talent pour maintenir le suspense sur presque 500 pages. Comme dans cet opus apparaît également Tessa Leoni, détective privée et compagne de Wyatt, dont c'est la troisième participation sous la plume de l'auteure, mes prochaines lectures de cette auteure sont trouvées.
Wyatt et Kevin, policiers dans le New Hampshire, déclenchent une opération d'envergure pour retrouver la fillette, mais Annie est catégorique, il y avait qu'une seule personne dans la voiture. Et Annie ne se trompe jamais, car c'est la meilleure chienne de la brigade cynophile et son odorat est infaillible.
Lorsque Thomas, le mari de Nicky, affirme qu'ils n'ont pas d'enfant, les enquêteurs doivent se rendre à l'évidence, la jeune femme est victime d'un syndrome post-commotionnel suite à plusieurs chutes et Véro est « une chimère, une ratée de son cerveau ».
Mais Wyatt Foster n'est pas totalement convaincu. Il soupçonne que le cas de cette femme qui répète « Véro apprend à voler » comme un lancinant leitmotiv, qui a subi plusieurs chutes et un accident de voiture en six mois, est plus complexe que veut bien le dire le mari, d'autant plus que la reconstitution des heures précédant la sortie de route de Nicky laisse planer un sérieux doute sur la chronologie des faits.
Certaines critiques font état d'une intrigue qui se traîne et de beaucoup de répétitions, ce que je n'ai pas du tout ressenti. J'avoue m'être laissé prendre par cette histoire particulièrement addictive. Lorsque je pensais avoir compris avant les policiers – qui eux ont toujours un temps de retard –, c'était pour me rendre compte que je m'étais fait manipuler par l'auteure, et que l'intrigue rebondissait dans une autre direction.
C'est le premier roman de Lisa Gardner que je lis et je reconnais son talent pour maintenir le suspense sur presque 500 pages. Comme dans cet opus apparaît également Tessa Leoni, détective privée et compagne de Wyatt, dont c'est la troisième participation sous la plume de l'auteure, mes prochaines lectures de cette auteure sont trouvées.
