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Critique de BOLOA
Repéré sur babelio, cet ouvrage a été trouvé par hasard dans ma mediatheque, pour ma plus grande joie.
J'ai aimé la douceur du dessin : les couleurs pastels, chatoyantes et le trait fin, posé vivement et simplement. L'illustration donne à cette histoire un sentiment de légèreté, en contraste du scénario.
Car la thématique, ou plutôt les thématiques sont pesantes et douloureuses.
Dans cette histoire, à deux générations d'écart, Clémence et sa grand-mère se débattent avec ce qu'elles essayent de masquer, ce qu'elles sentent émerger en elles et qu'elles ne peuvent accepter. Et dans cette lutte, il y a cette épopée qui vient apporter un instant de vie, de partage qui leur fait du bien.
La construction du récit, avec des bonds spatio-temporels est bien faite. Ni trop peu, ni trop nombreux, nous ne perdons pas l'évolution de l'histoire.
Je déplore cependant que le personnage de la mère n'ait pas été plus développé.
Ne m'oublie pas est un bel ouvrage, mais j'en attendait peut être un petit peu plus pour rester gravé à jamais dans ma mémoire.
J'ai aimé la douceur du dessin : les couleurs pastels, chatoyantes et le trait fin, posé vivement et simplement. L'illustration donne à cette histoire un sentiment de légèreté, en contraste du scénario.
Car la thématique, ou plutôt les thématiques sont pesantes et douloureuses.
Dans cette histoire, à deux générations d'écart, Clémence et sa grand-mère se débattent avec ce qu'elles essayent de masquer, ce qu'elles sentent émerger en elles et qu'elles ne peuvent accepter. Et dans cette lutte, il y a cette épopée qui vient apporter un instant de vie, de partage qui leur fait du bien.
La construction du récit, avec des bonds spatio-temporels est bien faite. Ni trop peu, ni trop nombreux, nous ne perdons pas l'évolution de l'histoire.
Je déplore cependant que le personnage de la mère n'ait pas été plus développé.
Ne m'oublie pas est un bel ouvrage, mais j'en attendait peut être un petit peu plus pour rester gravé à jamais dans ma mémoire.
