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Critique de Alexmotamots
Martial et Odette viennent d'emménager dans une résidence paradisiaque du sud de la France, loin de leur grise vie de banlieue. "Les Conviviales" offrent un atout majeur : protection absolue et sécurité garantie - pour seniors uniquement.
A leur amménagement, ils sont seuls avec le gardien, et il pleut...
Puis les premiers voisins s'installent enfin : un autre couple avec un magnifique piano blanc, puis quelques mois plus tard une femme seule.
L'été est là, et avec lui ses chaleurs torides. le huis clos devient alors un shaker explosif : troubles obsessionnels, blessures secrètes, menaces fantasmées du monde extérieur (des gitans se sont installés non loin des "Conviviales" et le gardien raconte d'affreuses choses sur eux).
Mon avis :
Dès les premières pages, on sent que "les Conviviales" sont un rêve piégé : construit à petit budget pour des séniors, les maisons ne trouvent pas preneur, sauf 3 d'entre elles !
La tension monte peu à peu, comme la température extérieur, jusqu'à l'explosion.
Dernier ouvrage de cet auteur, plus abouti, sans doute ; mais le sujet reste le même : nous avons tous au fond de nous cette part noire d'humanité qui peut se réveiller n'importe quand.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
A leur amménagement, ils sont seuls avec le gardien, et il pleut...
Puis les premiers voisins s'installent enfin : un autre couple avec un magnifique piano blanc, puis quelques mois plus tard une femme seule.
L'été est là, et avec lui ses chaleurs torides. le huis clos devient alors un shaker explosif : troubles obsessionnels, blessures secrètes, menaces fantasmées du monde extérieur (des gitans se sont installés non loin des "Conviviales" et le gardien raconte d'affreuses choses sur eux).
Mon avis :
Dès les premières pages, on sent que "les Conviviales" sont un rêve piégé : construit à petit budget pour des séniors, les maisons ne trouvent pas preneur, sauf 3 d'entre elles !
La tension monte peu à peu, comme la température extérieur, jusqu'à l'explosion.
Dernier ouvrage de cet auteur, plus abouti, sans doute ; mais le sujet reste le même : nous avons tous au fond de nous cette part noire d'humanité qui peut se réveiller n'importe quand.
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