C'est un peut être un conte. Pas une fable. Est-ce la réalité ? Un rêve? Il est vrai que derrière les apparences il y a toujours un rêve.
Les enchanteurs, ces immortel.le.s.
Saltimbanques, artistes, alchimiste, voyants toujours,... jamais prophètes.
C'est un roman enchanteur, entre Venise, Paris, et la grande Russie, une chevauchée à travers la « grande fête humaine ».
C'est un roman qui interroge le rôle de la création, sa mission, la force de l'amour, l'écriture, l'imagination, le Temps, la hauteur à laquelle il convient d'hisser nos flambeaux.
On traverse les siècles. Qu'est-ce qui perdure ? A quel instant mourons-nous ?
Et puis l'écriture de
Romain Gary… « les souvenirs, c'est une chanson que l'on chante quand n'a plus de voix... ». Alors on écrit, comme Gary, ou bien on peint comme Chagall. C'est un air qui nous inspire et ne fera jamais rien rien expirer.
Astrid Shriqui GarainCommenter  J’apprécie         150