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Critique de Alfaric


Dans ce tome 2 intitulé "Mansïouran", Talinn, Evrane et Lorky veulent autant partir à l'aventure qu'échapper à leurs poursuivants du coup il n'hésitent pas à recourir au médaillon magique pour brouiller les pistes en faisant et refaisant les allers-retours entre l'adolescence et l'adulescence. Mais si l'artefact permet de changer d'âge et d'apparence, il ne change pas le vécu et l'expérience : l'aîné ne gagne pas en courage, la cadette ne gagne pas en respect et le benjamin ne gagne pas en maturité... Toujours est-il que tout le monde parvient au port de Navelkol, et les péripéties pulpiennes qui s'y déroulent sont plutôt cool (c'est 50% "Lanfeust" 50% "Indiana Jones" ^^). L'équipe prend la mer pour s'échapper et pendant que Lorky flirte avec les ribaude dénommé Mylène (à moins que ne ce soit l'inverse ^^), Mansïouran explique à Talinn et Evrane l'opposition entre mages blanc / jedis qui veulent que les objets magiques servent le bien commun et les mages noirs / siths qui veulent que les objets magiques servent les ambitions personnelles : on aurait pu avoir une réflexion sur le rapport entre les adolescents et l'objet magique qu'ils utilisent et que d'autres voudraient bien utiliser, mais non en fait... le tome se finit par une nouvelle rasade de péripéties pulpiennes bien sympathiques lors d'une attaque de pirates avec requins de combats et dauphins de secours : on est plus dans le cape et épée que dans le médiéval fantastique, on lorgne du côté de l'arcanepunk à la "Final Fantasy", et tout le monde se retrouve sur une drôle d'île qui est loin d'être déserte puisque tout le monde y fait la guerre à outrance !
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