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Critique de Gwenaweb
Les avis sur ce livre déchirent les foules. Comme beaucoup, j'ai eu du mal à accrocher. Mais la curiosité de savoir pourquoi on nous parlait de Charles m'a assez bien tenue en haleine quand même. Et j'ai des principes (mais oui Madame !), alors je n'abandonne pas un livre. Je le vis comme un échec. Et je n'aime pas les échecs.
Je continue donc et finis par apprécier Charles. Et puis est venue s'incruster l'histoire de Nounou… Si je devais écrire un livre avec tous mes héros préférés, Nounou serait de la partie avec Harry Potter, Garion, Jo March, et Katniss. Nounou… qui me fait tellement penser à des gens que je connais, qui me touche tellement que ça en est difficile de le lire dans le train. Vous avez pas l'air con quand vous pleurez toute seule entre Bruxelles midi et centrale. Ensuite Manoukate, que j'essayerai volontiers de prendre comme exemple de vie. Tout ça s'articule pour former une histoire à part entière, comme la sauce chocolat qui finit la Dame Blanche. L'énumération de phrases avec un rythme qui accélère me plait beaucoup et me fait penser à Irvine Welsh, en moins écossais (moins trash aussi, cf. : choisir la vie, Trainspotting). La fin est joyeuse mais tellement bien faite qu'on n'a même pas l'impression d'avoir les mains qui dégoulinent de sucre.
Je continue donc et finis par apprécier Charles. Et puis est venue s'incruster l'histoire de Nounou… Si je devais écrire un livre avec tous mes héros préférés, Nounou serait de la partie avec Harry Potter, Garion, Jo March, et Katniss. Nounou… qui me fait tellement penser à des gens que je connais, qui me touche tellement que ça en est difficile de le lire dans le train. Vous avez pas l'air con quand vous pleurez toute seule entre Bruxelles midi et centrale. Ensuite Manoukate, que j'essayerai volontiers de prendre comme exemple de vie. Tout ça s'articule pour former une histoire à part entière, comme la sauce chocolat qui finit la Dame Blanche. L'énumération de phrases avec un rythme qui accélère me plait beaucoup et me fait penser à Irvine Welsh, en moins écossais (moins trash aussi, cf. : choisir la vie, Trainspotting). La fin est joyeuse mais tellement bien faite qu'on n'a même pas l'impression d'avoir les mains qui dégoulinent de sucre.
