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Critique de Elana
Oui j'avoue: je suis fan de littérature érotique; homo-érotique et j'en passe.
Je voudrais en profiter pour tordre le cou aux idées reçues: ce genre littéraire ne parle pas que de fesses. Une certaine sensualité s'égraine à travers les pages, les mots émoustillent mais sans vulgarité.
Les loups de Riverdance font partie de cette catégorie. Cette amour inconditionnel entre Lucas et Marcus est aussi touchant qu'aguichant. le lecteur assiste au prémisses de leur amour et les suit jusqu'à l'accomplissement de leur passion. Un exercice de style qui demande une belle maîtrise des mots pour ne pas tomber dans l'obscénité. Un exercice que réalise à merveille H. V. Gavriel. Et ce n'est pas le seul domaine dans lequel Gavriel excelle. L'action et le fantastique côtoient étroitement la romance, un savant mélange finement orchestré. Elle sait tenir ses lecteurs en haleine avec comme première intrigue (et pas des moindre): le personnage principal. En effet Lucas reste un mystère pendant près de 200 pages. Une douce torture qui pousse à avancer dans l'histoire pour enfin satisfaire sa curiosité. Je n'oublie pas les loups-garous, grand classique du genre bit-lit, qui n'apparaissent que tardivement mais ont une place prépondérantes des leurs arrivé. On les retrouve forts, dangereux, poilus et incroyablement sexy: tous pour plaire.
Une seule question persiste: que nous réserve le (ou les) tome suivant ?!?
Je voudrais en profiter pour tordre le cou aux idées reçues: ce genre littéraire ne parle pas que de fesses. Une certaine sensualité s'égraine à travers les pages, les mots émoustillent mais sans vulgarité.
Les loups de Riverdance font partie de cette catégorie. Cette amour inconditionnel entre Lucas et Marcus est aussi touchant qu'aguichant. le lecteur assiste au prémisses de leur amour et les suit jusqu'à l'accomplissement de leur passion. Un exercice de style qui demande une belle maîtrise des mots pour ne pas tomber dans l'obscénité. Un exercice que réalise à merveille H. V. Gavriel. Et ce n'est pas le seul domaine dans lequel Gavriel excelle. L'action et le fantastique côtoient étroitement la romance, un savant mélange finement orchestré. Elle sait tenir ses lecteurs en haleine avec comme première intrigue (et pas des moindre): le personnage principal. En effet Lucas reste un mystère pendant près de 200 pages. Une douce torture qui pousse à avancer dans l'histoire pour enfin satisfaire sa curiosité. Je n'oublie pas les loups-garous, grand classique du genre bit-lit, qui n'apparaissent que tardivement mais ont une place prépondérantes des leurs arrivé. On les retrouve forts, dangereux, poilus et incroyablement sexy: tous pour plaire.
Une seule question persiste: que nous réserve le (ou les) tome suivant ?!?
