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Critique de Addy84
Fin des années 50. L'Amérique est encore sous le joug de la ségrégation raciale. L'injustice que vivent les afro-americains va être l'engrenage de la montée de groupuscules se battant pour "la cause".
La guerre du Vietnam mettra le feu aux poudres, lorsque l'Amérique demandera à ses enfants noirs de se battre pour leur pays alors qu'ils n'ont même pas le droit de vote.
C'est à travers les yeux du jeune Larry Hoover qu'Alan Geday va nous raconter cette période sombre de l'histoire.
Jeune homme curieux et idéaliste, Larry, âgé de 17 ans, va voir son destin basculer lorsqu'il sera enrôlé pour le Vietnam.
Son personnage est émouvant et complexe. Les traits de caractère sont bien marqués et l'auteur réussirait presque à nous faire accepter l'inacceptable.
Les personnages secondaires sont attachants et chacun jouera un rôle essentiel dans la vie de Larry.
L'histoire est prenante et j'ai eu les larmes aux yeux plus d'une fois. le récit est parfois intenable et le besoin de justice ne cesse de battre dans nos veines à la lecture de certains passages.
La plume est ensorcelante et les pages défilent à une vitesse déconcertante. C'est avec le souffle court et la respiration hachée que j'ai vécu la légende de Larry Hoover.
La guerre du Vietnam mettra le feu aux poudres, lorsque l'Amérique demandera à ses enfants noirs de se battre pour leur pays alors qu'ils n'ont même pas le droit de vote.
C'est à travers les yeux du jeune Larry Hoover qu'Alan Geday va nous raconter cette période sombre de l'histoire.
Jeune homme curieux et idéaliste, Larry, âgé de 17 ans, va voir son destin basculer lorsqu'il sera enrôlé pour le Vietnam.
Son personnage est émouvant et complexe. Les traits de caractère sont bien marqués et l'auteur réussirait presque à nous faire accepter l'inacceptable.
Les personnages secondaires sont attachants et chacun jouera un rôle essentiel dans la vie de Larry.
L'histoire est prenante et j'ai eu les larmes aux yeux plus d'une fois. le récit est parfois intenable et le besoin de justice ne cesse de battre dans nos veines à la lecture de certains passages.
La plume est ensorcelante et les pages défilent à une vitesse déconcertante. C'est avec le souffle court et la respiration hachée que j'ai vécu la légende de Larry Hoover.
