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Critique de tokyosarou
Au départ, j'avais choisi de ne pas me lancer dans cette lecture. Pourquoi ? Je suis au troisième trimestre de ma grossesse et je dois dire que les émotions que je ressens pour l'instant sont très fortes et j'essaie donc de me préserver un maximum. En effet, lorsque l'on prend connaissance du résumé du premier roman de Dan Gemeinhart, l'on s'attend bien évidemment à être touché par des mots, par le ressenti des proches de Mark, mais aussi par son combat tout simplement. Malgré que ma première impression se soit révélée à peu près correcte, je ne regrette absolument pas d'avoir reçu ce livre et de l'avoir lu, car j'ai aimé l'écriture sensible de l'auteur ainsi que les évènements qui s'enchaînent et qui ne se ressemblent pas.
Mark est un personnage qui me laissait un peu froide de par ses réactions au tout début de l'histoire, mais très vite, on se range de son côté et on arrive à le comprendre et même à l'encourager. Paradoxalement, mon ressenti de maman me poussait à le faire rentrer chez lui auprès de sa famille pour se soigner, mais que peut-on refuser à un enfant qui doit traverser ce genre d'épreuves et de traitements au quotidien ?! Sa quête de vérité est tellement essentielle pour lui ainsi que son désir d'être acteur de sa propre fin. Aux côtés de son chien Beau, il se sent accompagné et même soutenu tout au long de son périple. Cette amitié entre l'homme et l'animal est aussi très importante dans ce récit et quel bonheur de voir qu'un animal de compagnie peut avoir une place aussi grande dans la vie d'un enfant ou d'un homme.
Au niveau des personnages secondaires, j'aurais apprécié que l'on détaille un peu plus les émotions, les peurs, mais aussi les espoirs que la famille de Mark pourrait ressentir par rapport à cette maladie qui revient les frapper de plein fouet… Mais, je comprends aussi pourquoi l'auteur a choisi de ne pas le faire et je respecte totalement son choix, car au final la quête de Mark est tellement primordiale dans ce roman ainsi que ses propres pensées et questionnements que l'on ne voit plus vraiment la nécessité de souligner la souffrance de son entourage.
Pour conclure, ce deuxième titre de la collection R Jeunesse m'a vraiment convaincue et m'a carrément bouleversée. C'était une lecture surprenante et positive malgré le sujet abordé. L'auteur est déjà comparé à John Green et je pense qu'il a ce qu'il faut pour nous épater, nous émouvoir et nous surprendre à nouveau.
Lien : https://aliceneverland.wordp..
Mark est un personnage qui me laissait un peu froide de par ses réactions au tout début de l'histoire, mais très vite, on se range de son côté et on arrive à le comprendre et même à l'encourager. Paradoxalement, mon ressenti de maman me poussait à le faire rentrer chez lui auprès de sa famille pour se soigner, mais que peut-on refuser à un enfant qui doit traverser ce genre d'épreuves et de traitements au quotidien ?! Sa quête de vérité est tellement essentielle pour lui ainsi que son désir d'être acteur de sa propre fin. Aux côtés de son chien Beau, il se sent accompagné et même soutenu tout au long de son périple. Cette amitié entre l'homme et l'animal est aussi très importante dans ce récit et quel bonheur de voir qu'un animal de compagnie peut avoir une place aussi grande dans la vie d'un enfant ou d'un homme.
Au niveau des personnages secondaires, j'aurais apprécié que l'on détaille un peu plus les émotions, les peurs, mais aussi les espoirs que la famille de Mark pourrait ressentir par rapport à cette maladie qui revient les frapper de plein fouet… Mais, je comprends aussi pourquoi l'auteur a choisi de ne pas le faire et je respecte totalement son choix, car au final la quête de Mark est tellement primordiale dans ce roman ainsi que ses propres pensées et questionnements que l'on ne voit plus vraiment la nécessité de souligner la souffrance de son entourage.
Pour conclure, ce deuxième titre de la collection R Jeunesse m'a vraiment convaincue et m'a carrément bouleversée. C'était une lecture surprenante et positive malgré le sujet abordé. L'auteur est déjà comparé à John Green et je pense qu'il a ce qu'il faut pour nous épater, nous émouvoir et nous surprendre à nouveau.
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