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Critique de Tatooa


Tatooa
14 décembre 2016
Et voilà, c'est fini... Enfin pour cette première partie du moins. Les aventures de Connavar, Fiallach, Vorna, Bane, les Banouin, Bran et tout ce beau monde, s'achèvent sur une bataille épique, forcément !

J'en suis encore toute éblouie. Je me demande si je suis bien objective, vu que j'adore Gemmell, son style, ses personnages (sauf les femmes de Connavar, oulala, mais bon, l'histoire eût été différentes si elles avaient été différentes), ses re-écritures de l'Histoire...

"L'épée de l'Orage" : dans ce premier tome, Gemmell nous dresse le contexte, l'enfance et l'adolescence de Connavar, puis son statut de jeune adulte qui vont l'amener à devenir le héros des Rigantes et tous les peuples keltoï (ou presque). C'est somme toute une destinée assez aride pour lui... On reconnait au fur et à mesure qu'on avance, de quels peuples et de quelles guerres de l'histoire Gemmell nous parle (et c'est dit en clair et sans décodeur à la fin du tome 2).
Mon personnage préféré de ce tome 1 est Ruathain "le grand homme", le père adoptif de Connavar, la figure paternelle imposante et fiable, mais également Parax, le vieux chasseur, et Fiallach, le gros bourrin. Sa mère m'a tapé sur les nerfs, par contre, sa "fiancée" Arian également, seule Vorna sauve les meubles en ce qui concerne les femmes, lol !

"Le faucon de minuit" : difficile d'en parler sans spoiler l'histoire et ce qu'il se passe. J'ai tout simplement adoré Bane, et le contexte et l'histoire (arènes, gladiateurs) que nous conte Gemmell ici. Ambiance "Gladiator" garantie ! :). Cela est et reste des histoires d'hommes, avec Rage, Telors, Voltan, Jasaray etc... Les femmes n'y sont de nouveau que des "prétextes" à construire l'enchaînement des événements et décrire les émotions des hommes qui les font... Il est vrai que les guerres historiques sont surtout affaire d'hommes... Grands. Et petits...

C'est avec joie et regrets (de l'avoir dévoré sans avoir pu m'en empêcher, comme toujours avec Gemmell) que j'ai refermé ce tome 1. Découvrir et lire un nouveau Gemmell, c'est l'assurance pour moi de lire tout ce que j'aime...
De belles histoires de grands hommes avec qualités et défauts, des changements, des évolutions de ces mêmes personnages, des rédemptions tardives ou pas, des mythes revisités de façon excellente.
Quand je lis du Gemmell, je ne suis nulle part ailleurs que dans ses livres aux côtés de ses personnages. Et ça, c'est juste magique...

Et pour faire un clin d'oeil à Alfaric, il est très vrai que j'y retrouve l'ambiance des meilleurs récits de Howard.

Bref : David, je t'aime. (Mon mari est au courant...)
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