Acheté à la faveur de l'exposition Rothko à la
Fondation Louis-Vuitton, ce drôle de documentaire me laisse dubitative.
Le narrateur, derrière lequel se cache maladroitement l'auteur, cherche à retrouver la magie du passé artistique du 222 Bowery Street, adresse prestigieuse par la succession de ses locataires : Léger, Rothko, Burroughs, Giorno… excuser du peu.
Malheureusement, au lieu de s'effacer devant son sujet et ses personnages, l'auteur s'attache à montrer combien il est brillant et cultivé. Tant de prétention finit par fatiguer. Aussi, je me suis éloignée pour laisser les figures emblématiques de la Beat generation entre elles.
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