Ce roman change souvent d'époques et de lieux ; il développe deux histoires parallèles, en 1232 et de nos jours. Cela fait beaucoup de ruptures à suivre d'autant que se succèdent les lieux en 1232 à Jérusalem : le puits - la maison de l'ordre – le quartier de l'arbre sec – le pourrissoir – les bains – le cimetière – l'hôpital du temple – le cachot du palais – la cathédrale de Jérusalem – l'ordre du Temple – le port de Caïpha – le bateau du Légat – le ferme d'Ein Kerem – la place de justice - le mont Sion - la bibliothèque... cela fait beaucoup.
Pour Londres, de nos jours, je n'ai pas noté.
L'action d'une demi-page dans chaque lieu est précédée d'une longue présentation introductive.
Du coup, cela veut dire qu'il faut lire les histoires par très gros morceaux pour arriver à suivre…encore eût-il fallu que la lecture du début soit passionnante.
Le livre fait des références à la Franc maçonnerie et à Anders Behring Breivik au passage, ce thème fait l'objet d'un glossaire maçonnique de 20 pages en fin d'ouvrage et d'un chapitre dans le Londres maçonnique.
C'est dire s' il veut toucher un public d'initiés.
Pas d'approche psychologique pour le héros
Marcas mais peut-être que les présentations avaient été faites dans un volume précédent car
le temple noir fait de nombreuses références aux romans précédents.
C'est parce que j'avais engagé la lecture de 300 pages pour la mise en place de l'histoire que je l'ai fini.
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