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Critique de Presence


Le tome précédent (Green Lantern: Wanted : Hal Jordan) l'annonçait, ça y est elle est maintenant là : l'armée de Sinestro avec ses anneaux de pouvoir jaune. Geoff Johns et Dave Gibbons mettent en scène la fin du recrutement des membres du Sinestro Corps et les premiers affrontements entre les porteurs d'anneau jaune et les porteurs d'anneaux verts. Ce premier tome comprend les premiers combats de cette guerre, ils sé déroulent su Oa, sur Mogo, sur Korugar (la planète natale de Sinestr) et sur la planète Qward dans l'anti-univers.

Cette histoire est construite comme un film d'action à gros budget et elle fut un bestseller lors de sa parution initiale en été 2007. le lecteur se retrouve en plein space-opera, immergé au milieu de dizaines de personnages de premier et de second plans tout au long des épisodes (21 à 23 de la série Green Lantern, 14 et 15 de la série Geen Lantern Corps + le numéro intitulé Green Lantern : Sinestro Corps Special). Aux dessins, on retrouve Ivan Reis (le dessinateur de la série mensuelle de Green Lantern, parfait avec juste ce qu'il faut de personnalité et de mise en valeur des grands espaces intersidéraux) et Patrick Gleason de la série mensuelle du Corps (un peu moins de personnalité, un sens de la composition en dessous d'Ivan Reis et un dessin nettement moins fin). le numéro spécial de Sinestro est illustré par le très méticuleux Ethan van Sciver et c'est un régal. Ce monsieur est un obsédé du détail, de la composition énergétique et de la précision graphique. Il s'est encore amélioré par rapport à Green Lantern: Rebirth, c'est l'incarnation du rêve de tout fan de comics, un mélange harmonieux de George Perez, de Neal Adams et de Brian Bolland. Rien que ce seul épisode introductif fait gagner ses 5 étoiles à ce recueil.

Coté scénario, c'est épique et c'est du lourd. Les green lanterns et les gardians vont devoir affronter, outre le Sinestro Corps, l'anti-monitor, le superboy d'une autre dimension et Hank Henshaw, sans oublier Sinestro plus menaçant que jamais. N'oublions pas Parallax et Ion et l'introduction de membres vraiment méchants du Sinestro Corps. du grand spectacle très divertissant (même si ce genre construit un peu au dépend du développement des personnages).
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