Je viens de refermer à regret ce roman car j'aurais bien aimé poursuivre l'aventure de Zélie Murineau et de son ami le commissaire Alexandre d'Arbourg.
Tout d'abord,l'atmosphère du Paris de 1880 m'a semblé si réelle que je m'y suis sentie intégrée.Le combat pour la reconnaissance des femmes en tant que peintres est passionnant car son issue qui nous est actuellement connue,n'a pas été sans drames et injustices,dont les héroïnes ont été oubliées.
Bravo à l'auteur de les avoir fait revivre le temps d'une histoire.D'une écriture soignée et d'une grande fluidité,est né ce roman dans lequel on croise des personnages tels qu'on peut les imaginer dans la société d'autrefois.
Belle découverte pour moi.
Commenter  J’apprécie         350