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Critique de Joad


Les épines romantiques libanaises fomentent un coup d'État contre les nationalismes d'avant-guerre.

En 1912, Khalil Gibran s'arme de belles envolées lyriques pendant que d'autres s'unissent pour l'avènement du royaume des gueules cassées.

Gibran est l'homme du mousquet poétique, ce noble fusil d'apparat orné de coquettes aventures amoureuses. Ce contemporain de Péguy, vénérable aède aux ailes brisées, use et abîme au fur et à mesure ses évocations et figures de style. Ainsi, l'à priori subjugué prend la poudre d'escampette dès que l'entichement se traîne à mourir.

Parfois, de bons pétoires font l'affaire lorsque les mots sont trop sucrés.
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