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Critique de pikanelle
Si l'auteur s'intéressait déjà à Lewis Caroll dans le baptême des ténèbres, là c'est carrément un roman entier qui lui est consacré.
Une revisite des aventures d'Alice dans un pays des merveilles cauchemardesque, où les personnages (déjà passablement déjantés dans l'oeuvre originale) deviennent des meurtriers en puissance, des sadiques et des junkies. Les chapitres alternent entre ce pays imaginaire peu engageant et des plongées dans la vie supposée de Lewis Caroll qui font froid dans le dos.
Un roman très sombre et parfois bien gore aussi, ce à quoi je m'attendais. Plus surprenamment, la deuxième partie du livre glisse, de manière réussie, vers l'univers du fantasy … et au final c'est sans doute ce que j'ai préféré dans l'histoire.
Mais à la question de savoir si tout cela n'était ou non que l'effet d'un trip d'Alice, mystère et boule de gomme… mais au final peu importe.
Quant à Lewis Caroll, celui-ci était-il réellement un monstre ? N'ayant aucune connaissance des moeurs de la société victorienne et étant donné que les avis de ses différents biographes, bien mieux renseignés que moi, divergent sur le sujet, je me garderai bien d'émettre une opinion. Toutefois, passé au prisme de nos valeurs contemporaines, entre les zones d'ombre de l'histoire de Lewis Caroll et les clichés glaçants figurant à la fin du roman, ce que je peux dire est que ce n'est certainement pas le type de personne que j'appellerai pour un baby-sitting...
Une revisite des aventures d'Alice dans un pays des merveilles cauchemardesque, où les personnages (déjà passablement déjantés dans l'oeuvre originale) deviennent des meurtriers en puissance, des sadiques et des junkies. Les chapitres alternent entre ce pays imaginaire peu engageant et des plongées dans la vie supposée de Lewis Caroll qui font froid dans le dos.
Un roman très sombre et parfois bien gore aussi, ce à quoi je m'attendais. Plus surprenamment, la deuxième partie du livre glisse, de manière réussie, vers l'univers du fantasy … et au final c'est sans doute ce que j'ai préféré dans l'histoire.
Mais à la question de savoir si tout cela n'était ou non que l'effet d'un trip d'Alice, mystère et boule de gomme… mais au final peu importe.
Quant à Lewis Caroll, celui-ci était-il réellement un monstre ? N'ayant aucune connaissance des moeurs de la société victorienne et étant donné que les avis de ses différents biographes, bien mieux renseignés que moi, divergent sur le sujet, je me garderai bien d'émettre une opinion. Toutefois, passé au prisme de nos valeurs contemporaines, entre les zones d'ombre de l'histoire de Lewis Caroll et les clichés glaçants figurant à la fin du roman, ce que je peux dire est que ce n'est certainement pas le type de personne que j'appellerai pour un baby-sitting...
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