AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Jerome_Martinet


L'auteur nous prévient dans l'introduction, certains parmi ceux qui ont plébiscité le livre n'en avait jamais lu un avant. Tu m'étonnes.

Impossible d'aller au bout tant le style est indigne.
Les nombreuses coquilles attestent d'ailleurs bien de l'indigence de l'éditeur qui n'aura cherché que le bon coup à grands renforts de bandes annonces absconses et de surenchère sur "la violence" et la dimension autobiographique.

On est pile entre Gaspard Noé, Vice et Béatrice Dalle, c'est dire la puissance littéraire de l'objet qui n'a de réellement abject que ses poncifs et son écriture évoquant une mauvaise traduction alors qu'on est face à la version originale.
A réserver aux lycéens en mal de sensations molles. Et encore...


"Bourré ou pas, va falloir y aller ou ta vas passer pour une tante, voire pire, pour un impuissant. Elle attendait ma réponse, figée dans une détresse qui prenait des proportions inquiétantes. Je ne voyais plus d'autre solution que de l'embrasser mais je dois dire que, dans mon état, ça me faisait profondément chier. Ma réputation d'amant efficace pouvait s'effondrer sur un coup pareil." au secours.

Et ce après avoir insisté sur le caractère autobiographique du récit donc. Vous l'aurez deviné, la fille en question est "une brune magnifique, peau ambrée, regard sombre, corps parfait qui fait marner tous les hommes qui lui tournent inévitablement autour sans même jamais arriver "à voir les poils de sa chatte".

A ce tarif, préférez un bon vieux San-A, vous aurez au moins le plaisir du texte.
Commenter  J’apprécie          61



Ont apprécié cette critique (5)voir plus




{* *}