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Critique de Sharon
L'homme qui plantait des arbres est un récit-fable. Peu importe ce que Giono a inventé, ce qui est important pour moi est l'impact, fort, de cette lecture, encore maintenant.
A l'époque, il n'était pas question d'écologie. Et pourtant, Giono nous parle d'un homme qui veut planter des arbres, qui veut magnifier la nature, qui veut rendre la beauté à des terres en souffrance.
Giono nous parle aussi d'écriture, de la guerre aussi. Je me souviens d'un de ses romans, lus à l'adolescence (je ne sais plus lequel) où il disait son amour de la terre, de la nature, et ne pas vouloir se battre pour la patrie : la nature n'a pas de frontière. Agir pour la préserver ne devrait pas en avoir non plus.
A l'époque, il n'était pas question d'écologie. Et pourtant, Giono nous parle d'un homme qui veut planter des arbres, qui veut magnifier la nature, qui veut rendre la beauté à des terres en souffrance.
Giono nous parle aussi d'écriture, de la guerre aussi. Je me souviens d'un de ses romans, lus à l'adolescence (je ne sais plus lequel) où il disait son amour de la terre, de la nature, et ne pas vouloir se battre pour la patrie : la nature n'a pas de frontière. Agir pour la préserver ne devrait pas en avoir non plus.
