Mon premier
Giono m'a un peu déconcerté je dois bien l'avouer. Peut-être ne suis pas habitué à cette écriture des années 50 ?
Giono l'annonce d'entrée, il n'aime pas les voyages. Et bien je trouve qu'il nous le rend bien tout au long du livre. Certes, certaines descriptions fugaces de lieux et de personnages sont croustillantes mais pour connaître les villes contées par
Giono, j'ai l'impression que son voyage a été une souffrance pour lui. Seul le chapitre sur Venise m'a vraiment convaincu pour le reste j'ai moins apprécié.
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