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Critique de Phoenicia
J'ai entendu beaucoup de choses sur ce livre, du bon comme du moins bon. Offert par un de mes proches, conseillé par plusieurs autres proches, j'ai attendu de le lire durant la saison estivale, me disant que c'était la saison idéale pour aborder une lecture qui de prime abord me laissait un peu sceptique.
Résultat, j'en suis sortie toute apaisée. J'ai décidé de le prendre comme un manuel de développement personnel plutôt qu'un roman. L'histoire en elle-même est un peu bateau, la fin un peu trop " chick-lit", "happy end", etc mais au moins on s'associe aisément à Camille, Madame Tout-le-Monde, atteinte de routinite aiguë.
Des deux personnages principaux, c'est Claude qui a ma préférence, routinologue de son état, coach comme on aimerait en avoir. J'ai retenu quelques idées qui me semblent vraiment sympa : le cahier du positif, les points d'ancrage positif, l'appareil photo imaginaire ou encore les instants de gratitude, pour n'en citer que quelques uns. L'auteure associe philosophes antiques et médiévaux aux courants de pensée orientaux, nous offrant une synthèse très zen et très éloignée du mode de vie de l'Européen lambda. Quelle tristesse quand on y pense.
Je regrette juste qu'il soit si court. On le lit d'une traite, ce qui fait qu'on n'a pas forcément le temps de s'imprégner de tous ces conseils de vie apportés par l'auteur. Mais, ce n'est pas si grave : ça sert à cela une relecture! :)
Résultat, j'en suis sortie toute apaisée. J'ai décidé de le prendre comme un manuel de développement personnel plutôt qu'un roman. L'histoire en elle-même est un peu bateau, la fin un peu trop " chick-lit", "happy end", etc mais au moins on s'associe aisément à Camille, Madame Tout-le-Monde, atteinte de routinite aiguë.
Des deux personnages principaux, c'est Claude qui a ma préférence, routinologue de son état, coach comme on aimerait en avoir. J'ai retenu quelques idées qui me semblent vraiment sympa : le cahier du positif, les points d'ancrage positif, l'appareil photo imaginaire ou encore les instants de gratitude, pour n'en citer que quelques uns. L'auteure associe philosophes antiques et médiévaux aux courants de pensée orientaux, nous offrant une synthèse très zen et très éloignée du mode de vie de l'Européen lambda. Quelle tristesse quand on y pense.
Je regrette juste qu'il soit si court. On le lit d'une traite, ce qui fait qu'on n'a pas forcément le temps de s'imprégner de tous ces conseils de vie apportés par l'auteur. Mais, ce n'est pas si grave : ça sert à cela une relecture! :)
