AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de stokely


J'avais un petit peu envie de légèreté dans ma lecture, en fouillant dans ma bibliothèque j'ai retrouvé ce livre, ayant déjà adorée le précédent récit de l'auteur j'avais hâte comme on a envie d'aller au dentiste c'est dire.

Je fais abstraction de mon précédent avis et je me lance et la très vite je déchante, j'avais envie de légèreté mais pas de vide absolu ce qui fut le cas ici.

Pauline Ormin-Perrin dite POP travaille dans un magasine féminin, suite à un accident elle va se retrouver dans le coma et voir Dieu lui apparaître sous les traits de Karl Lagerfeld. En arrivant au paradis POP ne demande pas comment vont ses enfants ou son mari non elle parle à Dieu de la nouvelle tendance de mode à savoir les jupes culottes.

Suite à sa rencontre avec Karl la haut elle va avoir une mission à son retour à la vie avec l'aide d'une jeune femme qui est une assistante dans un service de soins palliatifs.

POP va devenir selon elle une bonne personne en tout cas elle va faire le nécessaire à ces yeux essayant de se débarrasser des choses futiles dont la mode, en faisant le tri chez elle de ces vêtement, en accueillant une famille de réfugiés colombiens (qui bien évidemment selon les clichés de l'auteur se révèlent être des trafiquants).

Ce bouquin est également rempli de cliché à foison comme par exemple à la page 74 :

"Aflicao, l'étudiante lisboète, poussa un hurlement de bête à l'agonie :

-Ah non, Pauline, tou peu pas faire ça ! C'est oune crime! Pas la mini-joupe rouch, elle est trop bellch"

Chaque intervention de ce personnage est sur ce modèle autant dire que l'abandon de lecture est passé très très près et étant donné la proximité entre POP et l'auteur sur beaucoup de chose comme leur métier cela m'a beaucoup gêné lors de ma lecture.

Le seul point positif est qu'il y a un livre de moins dans ma bibliothèque....
Commenter  J’apprécie          160



Ont apprécié cette critique (16)voir plus




{* *}