Cela commence comme une belle promesse, un style enlevé rappelant celui d'
Albert Londres, narrant une errance digne de celles de
Nicolas Bouvier... On savoure et on suit avec plaisir ces pérégrinations en terre tunisienne sans but précis, sans fil conducteur. Et puis la Tunisie passe en arrière plan, le récit devient nombriliste, finit par s'essouffler et se perdre en considérations un peu superficielles, voire suspectes pour un homme de cet âge. Court, plaisant et éphémère.
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