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Critique de kouette_kouette
XXVe siècle.
Dans un monde où la soif de maîtrise de l'homme ne s'est pas focalisée sur le climat, mais sur son propre matériel génétique : le vieillissement cellulaire est un mauvais souvenir.
Il reste à choisir entre le désir d'enfant et le désir d'immortalité puisque le cumul des deux n'est pas possible : la planète dégueule d'humains, le compte s'approche du trillion.
Ouais, si de nos jours la surpopulation est encore tabou, Dmitry Glukovsky n'y a pas été avec le dos de la cuillère pour nous montrer ce que ça pouvait induire.
Bon alors, vous choisiriez quoi, vous ?
La réponse qui arrive lors de la première seconde nous informe sur l'instinct prédominant entre survie et parental. Après, concrètement, ça dépend beaucoup plus de la situation personnelle de chacun, de son éducation et de l'impact qu'a chaque discours politique sur nous.
Ça laisse donc le champ libre à l'auteur pour parler de mort, d'amour, de religion, de sens de la vie, d'endoctrinement et de dirigeants politiques (Dmitry aime toujours leur en mettre plein la tronche).
Il n'empêche que ce monde qui a dit adieu à la nature (logements obligent) éveille la curiosité. Et une fois appréhendé, il a chez moi éveillé mon imagination pour traîner dans le coin un peu plus longtemps que le temps de lecture, à l'image de l'imagination dont doivent faire preuve ces hommes du futur pour tenter de donner vie aux seuls grands espaces qu'ils peuvent admirer... à travers les écrans géants.
Si le scénario et les personnages ne sont pas fait dans la dentelle la plus fine, l'écriture de l'écrivain rattrape le tout en disséminant des infos subrepticement lors de judicieux retours en arrière.
Mais il faut dire que, moi, Dmitry Glukovsky, je me régale toujours de ses lignes.
Dans un monde où la soif de maîtrise de l'homme ne s'est pas focalisée sur le climat, mais sur son propre matériel génétique : le vieillissement cellulaire est un mauvais souvenir.
Il reste à choisir entre le désir d'enfant et le désir d'immortalité puisque le cumul des deux n'est pas possible : la planète dégueule d'humains, le compte s'approche du trillion.
Ouais, si de nos jours la surpopulation est encore tabou, Dmitry Glukovsky n'y a pas été avec le dos de la cuillère pour nous montrer ce que ça pouvait induire.
Bon alors, vous choisiriez quoi, vous ?
La réponse qui arrive lors de la première seconde nous informe sur l'instinct prédominant entre survie et parental. Après, concrètement, ça dépend beaucoup plus de la situation personnelle de chacun, de son éducation et de l'impact qu'a chaque discours politique sur nous.
Ça laisse donc le champ libre à l'auteur pour parler de mort, d'amour, de religion, de sens de la vie, d'endoctrinement et de dirigeants politiques (Dmitry aime toujours leur en mettre plein la tronche).
Il n'empêche que ce monde qui a dit adieu à la nature (logements obligent) éveille la curiosité. Et une fois appréhendé, il a chez moi éveillé mon imagination pour traîner dans le coin un peu plus longtemps que le temps de lecture, à l'image de l'imagination dont doivent faire preuve ces hommes du futur pour tenter de donner vie aux seuls grands espaces qu'ils peuvent admirer... à travers les écrans géants.
Si le scénario et les personnages ne sont pas fait dans la dentelle la plus fine, l'écriture de l'écrivain rattrape le tout en disséminant des infos subrepticement lors de judicieux retours en arrière.
Mais il faut dire que, moi, Dmitry Glukovsky, je me régale toujours de ses lignes.
