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Critique de Witchblade
Suite des aventures d'Aela et de son père Kaelig Morvan dans leur nouveau monde !
Je trouve que ce tome est la digne suite du précédent et il me tarde donc de découvrir ce que l'auteur a prévu pour la fin de sa trilogie. Une petite virée en Irlande, peut-être ?! Que je vous explique pourquoi !!
En premier lieu, l'univers. Dans ce tome, le Sidh passe un peu au second plan, nous en rencontrons de nouveaux habitants (pas toujours des plus sympathiques) mais guère plus. Nous évoluons plutôt au sein d'une série de quêtes initiatiques créées par (ou pour) des alchimistes dans le but de découvrir la pierre philosophale. Cet univers est tout aussi mystérieux que l'était le Sidh dans le premier tome.
En deuxième lieu, l'histoire. Nous suivons donc Kaelig et sa fille Aela dans la quête de la pierre philosophale, et bien évidemment, pas pour les mêmes raisons de pouvoir et de richesse que les autres. Ils se heurtent donc aux alchimistes et à l'Église pour leur quête impie. Ils vont suivre toute une série d'épreuves, aussi bien Aela que son père, pour prouver leur bravoure et montrer qu'ils souhaitent trouver la pierre pour des raisons sensées. Par contre, la fin m'a moins convaincue que le reste de l'histoire car elle m'a semblé sortir de nulle part même si nous avons plus d'informations sur l'ascendance d'Aela et le pourquoi du comment de ses pouvoirs.
Et en troisième lieu, les personnages. Aela a beaucoup évolué depuis le premier tome, principalement à cause de ses pouvoirs qui grandissent très vite et qu'elle apprend à utiliser. Elle commence à devenir une vraie jeune femme avec les émois amoureux qui vont avec. Son père a du mal à laisser partir sa petite fille, il la voit évoluer un peu bon gré mal gré suivant leurs quêtes et la prophétie. Il est néanmoins plus calme que dans le premier tome, moins de violence à réfréner. Il a enfin commencé le travail du deuil pour sa femme et son fils. Malheureusement, les autres personnages sont vraiment secondaires car assez peu approfondis, on apprend un peu à les connaître au fil des épreuves mais cela reste léger en comparaison de Kaelig et de sa fille.
Comme vous l'aurez compris, ce tome est une digne suite du précédent même si la fin semble sortir de nulle part et que l'univers lié au Sidh a été un peu laissé pour compte. La quête liée à la pierre philosophale est intéressante et bien menée grâce aux différentes épreuves servant à prouver la valeur des personnages. À voir comment se termine cette trilogie mais j'ai comme l'impression que ça aurait dû rester un tome unique. le mélange magie, alchimie et Église ne fait pas forcément bon ménage même si la découverte de la Bretagne du 17ème siècle est très agréable. À voir donc !!
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Je trouve que ce tome est la digne suite du précédent et il me tarde donc de découvrir ce que l'auteur a prévu pour la fin de sa trilogie. Une petite virée en Irlande, peut-être ?! Que je vous explique pourquoi !!
En premier lieu, l'univers. Dans ce tome, le Sidh passe un peu au second plan, nous en rencontrons de nouveaux habitants (pas toujours des plus sympathiques) mais guère plus. Nous évoluons plutôt au sein d'une série de quêtes initiatiques créées par (ou pour) des alchimistes dans le but de découvrir la pierre philosophale. Cet univers est tout aussi mystérieux que l'était le Sidh dans le premier tome.
En deuxième lieu, l'histoire. Nous suivons donc Kaelig et sa fille Aela dans la quête de la pierre philosophale, et bien évidemment, pas pour les mêmes raisons de pouvoir et de richesse que les autres. Ils se heurtent donc aux alchimistes et à l'Église pour leur quête impie. Ils vont suivre toute une série d'épreuves, aussi bien Aela que son père, pour prouver leur bravoure et montrer qu'ils souhaitent trouver la pierre pour des raisons sensées. Par contre, la fin m'a moins convaincue que le reste de l'histoire car elle m'a semblé sortir de nulle part même si nous avons plus d'informations sur l'ascendance d'Aela et le pourquoi du comment de ses pouvoirs.
Et en troisième lieu, les personnages. Aela a beaucoup évolué depuis le premier tome, principalement à cause de ses pouvoirs qui grandissent très vite et qu'elle apprend à utiliser. Elle commence à devenir une vraie jeune femme avec les émois amoureux qui vont avec. Son père a du mal à laisser partir sa petite fille, il la voit évoluer un peu bon gré mal gré suivant leurs quêtes et la prophétie. Il est néanmoins plus calme que dans le premier tome, moins de violence à réfréner. Il a enfin commencé le travail du deuil pour sa femme et son fils. Malheureusement, les autres personnages sont vraiment secondaires car assez peu approfondis, on apprend un peu à les connaître au fil des épreuves mais cela reste léger en comparaison de Kaelig et de sa fille.
Comme vous l'aurez compris, ce tome est une digne suite du précédent même si la fin semble sortir de nulle part et que l'univers lié au Sidh a été un peu laissé pour compte. La quête liée à la pierre philosophale est intéressante et bien menée grâce aux différentes épreuves servant à prouver la valeur des personnages. À voir comment se termine cette trilogie mais j'ai comme l'impression que ça aurait dû rester un tome unique. le mélange magie, alchimie et Église ne fait pas forcément bon ménage même si la découverte de la Bretagne du 17ème siècle est très agréable. À voir donc !!
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
