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Critique de LivresdAvril
Suite à de nombreuses critiques enthousiastes aperçues par ici, j'ai décidé de me laisser tenter par les aventures de Lady Helen pour débuter l'été.
Pourtant, la novella mise en ligne gratuitement par Gallimard sur son site pendant le confinement ne m'avait pas convaincue. Mais je suis curieuse et toujours prête à découvrir une série de pavés alors...
Malheureusement ce premier tome ne m'a pas emballée. Il faut dire que j'ai un souci avec les romans dans lesquels les personnages sont engoncés dans leurs tenues autant que dans leurs convenances. Une histoire dans laquelle l'héroïne doit éviter de courir, parler à un homme, parler trop fort ou montrer sa main nue pour tenir son rang me fatigue. Quand c'est un roman d'époque (type Jane Austen dont l'éditeur souligne la parenté) c'est amusant (encore que) mais je ne suis pas vraiment cliente de ce type de romans.
Et quand en plus Alison Goodman me plonge au millieu d'un triangle amoureux des plus convenu, dans lequel l'héroïne doit choisir entre le beau-ténébreux-dangereux et le gentil-mignon-sain, cela me fait trop penser à Twilight pour me toucher. D'un autre côté, comme les deux prétendants sont riches et nobles, le risque est minime.
Gênée par les nombreuses longueurs et répétitions, je me suis ennuyée. Cependant, je suis persuadée qu'il peut plaire à de nombreuses personnes, le nombre de critiques positives est d'ailleurs éloquent.
De mon côté, j'aime autant relire un classique, cela évitera que l'auteur ne me colle des "appendices obscènes" et de nombreuses autres allusions sexuelles gratuites pour faire adulte.
Pourtant, la novella mise en ligne gratuitement par Gallimard sur son site pendant le confinement ne m'avait pas convaincue. Mais je suis curieuse et toujours prête à découvrir une série de pavés alors...
Malheureusement ce premier tome ne m'a pas emballée. Il faut dire que j'ai un souci avec les romans dans lesquels les personnages sont engoncés dans leurs tenues autant que dans leurs convenances. Une histoire dans laquelle l'héroïne doit éviter de courir, parler à un homme, parler trop fort ou montrer sa main nue pour tenir son rang me fatigue. Quand c'est un roman d'époque (type Jane Austen dont l'éditeur souligne la parenté) c'est amusant (encore que) mais je ne suis pas vraiment cliente de ce type de romans.
Et quand en plus Alison Goodman me plonge au millieu d'un triangle amoureux des plus convenu, dans lequel l'héroïne doit choisir entre le beau-ténébreux-dangereux et le gentil-mignon-sain, cela me fait trop penser à Twilight pour me toucher. D'un autre côté, comme les deux prétendants sont riches et nobles, le risque est minime.
Gênée par les nombreuses longueurs et répétitions, je me suis ennuyée. Cependant, je suis persuadée qu'il peut plaire à de nombreuses personnes, le nombre de critiques positives est d'ailleurs éloquent.
De mon côté, j'aime autant relire un classique, cela évitera que l'auteur ne me colle des "appendices obscènes" et de nombreuses autres allusions sexuelles gratuites pour faire adulte.
