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Critique de Sevlipp
Charlie Beale arrive tel un vagabond dans cette petite ville de Virginie. Il veut profiter du calme, de la rivière, du soleil ; d'une vie simple quoi.
Mais sur son chemin, il y aura Sylvan et, l'amour, la passion vont s'inviter. Sam, 5 ans, va assister à tout cela.
Il est question de désir, d'aveuglement, de racisme, de puritanisme, de fièvre et de folie.
Le style rend parfaitement la lente montée de la convoitise, le jugement de la société, la loyauté de ceux qui restent fidèles et la compromission de ceux qui n'arrivent pas à s'opposer. le courage, les failles, les lâchetés sont parfaitement peints. Les personnages sont décrit avec leurs doutes, leurs certitudes, leur embrigadement et leur incapacité à changer le cours du destin. Un roman qui remue.
Mais sur son chemin, il y aura Sylvan et, l'amour, la passion vont s'inviter. Sam, 5 ans, va assister à tout cela.
Il est question de désir, d'aveuglement, de racisme, de puritanisme, de fièvre et de folie.
Le style rend parfaitement la lente montée de la convoitise, le jugement de la société, la loyauté de ceux qui restent fidèles et la compromission de ceux qui n'arrivent pas à s'opposer. le courage, les failles, les lâchetés sont parfaitement peints. Les personnages sont décrit avec leurs doutes, leurs certitudes, leur embrigadement et leur incapacité à changer le cours du destin. Un roman qui remue.
