C'est peu dire qu'
Enfance de Gorki m'a rappelé l'Enfant de Valles. j'y ai retrouvé le spectacle terrifiant de la violence sociale et domestique qui s'auto-alimentent, avec là aussi l'Enfant battu comme plâtre, comme bouc-émissaire ultime, réceptacle de toutes les frustrations dans une société mutilée et martyrisée par la religion qui produit des sociopathes condamnés à mimer obsessionnellement la vertu.
Dommage que la portée du livre en version poche soit amoindrie par une traduction fade et datée (1959).
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