Lu à l'adolescence, ou était-ce encore l'
enfance, ce livre m'a profondément marquée, et a été le premier à me faire découvrir cette étrange Mère Russie. Violence, tourments de l'âme, turpitudes, cupidité, mais aussi souvenirs d'une
enfance campagnarde marquée de petits événements ou de grands malheurs. Je ne peux plus voir de samovar sans penser à ce livre, ni entendre une musique slave sans avoir en tête la photo du jeune Gorki qui illustrait la couverture. A relire au coin du feu l'hiver prochain.
Commenter  J’apprécie         102