Comme toujours avec
Elizabeth Goudge, la très belle psychologie de chaque personnage est parfaitement maîtrisée, en particulier celle des enfants. Dans ce roman, dans lequel on pourrait reprocher parfois un peu trop de bons sentiments, on se délecte d'une grande poésie dans l'écriture. Ce livre a d'ailleurs été comparé au « domaine perdu » du Grand Meaulne.
Lien :
http://lapublivore.wordpress.. Commenter  J’apprécie         70