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Critique de camati


"Le jour où j'ai appris à vivre" est à l'image des précédents "romans" de Laurent Gounelle. Pourquoi ai-je mis des guillemets, me demanderez-vous peut-être?
C'est la catégorie qui est inscrite sur la couverture, mais je ne trouve pas que le terme soit approprié. L'idée de départ est de faire passer un message , une philosophie de vie, mais l'histoire qui sert de toile de fond à l'auteur pour développer ses théories, est, excusez le terme, un peu "nunuche". Un arrière-goût à l'américaine.
Certains incidents sont plaqués parce que Laurent Gounelle ne semble pas savoir comment amener le fruit de sa réflexion. C'était déjà le cas de ses ouvrages précédents.
Par exemple, je ne comprenais pas pourquoi à la fin du livre, alors que tout va bien, il fait tomber sa fille de la balançoire. Je me disais qu'il était trop tard pour relancer l'histoire. En fait, il s'agissait tout bêtement de la faire tomber nez à nez avec un ......... trèfle à quatre feuilles! C'est lourd, pas très fin, le lecteur avait déjà compris le dénouement, ce n'était pas la peine d'y aller avec de gros sabots.
Vous comprenez maintenant pourquoi je dis qu'il ne s'agit pas d'une oeuvre littéraire,mais comme une parabole plutôt, qui sert de véhicule à sa philosophie du développement personnel. Un mélange d'anecdotes pas toujours très plausibles alors que je partage les quelques grands principes énoncés (voir les citations que j'ai choisies).
En conclusion, lorsque j'ai envie de lire un texte sur le développement personnel, je préfère un ouvrage théorique avec des exemples plutôt qu'un livre romancé.
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