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Critique de dedanso
Rolala, quelle déception... Je suis d'autant plus déçue que j'étais toute contente de lire ce livre que l'auteur, habitante du village dans lequel je travaille, a bien voulu me dédicacer lors d'une rencontre organisée par la bibliothèque associative du village.
Mais il n'y a pas à tortiller, j'ai beau avoir tenté de m'accrocher, j'ai fini par lâcher le livre (non sans l'avoir feuilleté rapidement afin d'être certaine de ne pas commettre d'erreur).
J'ai d'abord vu, dès les premières phrases, le travail de l'écrivain. Et ça c'est mauvais signe. L'écriture est par trop scolaire et semble laborieuse. Elle manque donc énormément de naturel, ce qui fait que je n'ai pas du tout réussi à m'abandonner au récit et aux personnages. Et les discours directs, nombreux, n'aident en rien ; ils manquent d'allant, de simplicité et de naturel.
Quant aux personnages, ils m'ont semblé interchangeables, surtout les personnages masculins.
J'ai relevé également des problèmes de concordances de temps, de répétitions de vocabulaire, de signes de ponctuation mal placés... qui stoppent la lecture et empêchent de s'immerger entièrement dans le récit.
Quelques scènes de bagarres m'ont parues rondement menées : elles arrivent comme un cheveu sur la soupe et se terminent on ne sait trop comment.
Enfin, l'ensemble est beaucoup trop convenu et manque de personnalité. Pourtant, je ne peux nier une grande imagination à l'auteur. On sent bien qu'elle s'est créé un monde et qu'elle "voit tout parfaitement dans sa tête". Mais c'est la transcription de ce monde à l'écrit qui n'est pas réussi.
S'agissant d'un premier roman, je ne peux qu'encourager l'auteur à persévérer, à faire lire son récit à d'autres lecteurs afin d'améliorer son écriture et lui permettre de donner vie aux mondes qui s'épanouissent dans son esprit.
Mais il n'y a pas à tortiller, j'ai beau avoir tenté de m'accrocher, j'ai fini par lâcher le livre (non sans l'avoir feuilleté rapidement afin d'être certaine de ne pas commettre d'erreur).
J'ai d'abord vu, dès les premières phrases, le travail de l'écrivain. Et ça c'est mauvais signe. L'écriture est par trop scolaire et semble laborieuse. Elle manque donc énormément de naturel, ce qui fait que je n'ai pas du tout réussi à m'abandonner au récit et aux personnages. Et les discours directs, nombreux, n'aident en rien ; ils manquent d'allant, de simplicité et de naturel.
Quant aux personnages, ils m'ont semblé interchangeables, surtout les personnages masculins.
J'ai relevé également des problèmes de concordances de temps, de répétitions de vocabulaire, de signes de ponctuation mal placés... qui stoppent la lecture et empêchent de s'immerger entièrement dans le récit.
Quelques scènes de bagarres m'ont parues rondement menées : elles arrivent comme un cheveu sur la soupe et se terminent on ne sait trop comment.
Enfin, l'ensemble est beaucoup trop convenu et manque de personnalité. Pourtant, je ne peux nier une grande imagination à l'auteur. On sent bien qu'elle s'est créé un monde et qu'elle "voit tout parfaitement dans sa tête". Mais c'est la transcription de ce monde à l'écrit qui n'est pas réussi.
S'agissant d'un premier roman, je ne peux qu'encourager l'auteur à persévérer, à faire lire son récit à d'autres lecteurs afin d'améliorer son écriture et lui permettre de donner vie aux mondes qui s'épanouissent dans son esprit.
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