Désormais, et c’est une grande joie pour les missionnaires, protecteurs naturels de la dignité féminine, il n’est plus permis aux pères de vendre d’avance leurs fillettes à de futurs maris, il ne leur est plus permis d’unir leurs filles à des païens qui sont déjà mariés. Peu à peu, le Christ met son empreinte sur les lois de l’Ouganda ; et grâce aux Sœurs Blanches, qui ont le respect et l’amitié des femmes noires, la morale du Christ entre dans les foyers.