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Critique de VALENTYNE
J'ai commencé ce livre dans l'enthousiasme de mon dernier jour de congés début janvier et je le finis difficilement ce quinze janvier (10 jours pour moins de 300 pages...)
Sans trop savoir si cela tient au livre lui même ou à la surcharge de travail lors de la reprise.
Force est de constater que je n'ai pas été sous le charme des yeux de Milos. de nombreuses parties m'ont intéressée (comme le passage de Milos de l'adolescence à l'âge adulte, sa relation avec Marine puis Samantha) et aussi le parallèle fait entre Milos et Picasso : deux modèles d'égoïsme ?
Cependant assez rapidement j'ai trouvé le propos répétitif et lassant. Oui Picasso était un « monstre » pour son entourage... et ses maîtresses ont été soumises à rude épreuve...
Je reste aussi un peu sur ma faim par rapport a la place annoncée par la quatrième de couverture autour de Nicolas dd Staël.
En résumé, une lecture peu convaincante avec de très bons moments mais peut-être s'adressant a des lecteurs plus « littéraires » que moi : l'écriture est belle mais m'a donné un sentiment de « tourner en rond »
Sans trop savoir si cela tient au livre lui même ou à la surcharge de travail lors de la reprise.
Force est de constater que je n'ai pas été sous le charme des yeux de Milos. de nombreuses parties m'ont intéressée (comme le passage de Milos de l'adolescence à l'âge adulte, sa relation avec Marine puis Samantha) et aussi le parallèle fait entre Milos et Picasso : deux modèles d'égoïsme ?
Cependant assez rapidement j'ai trouvé le propos répétitif et lassant. Oui Picasso était un « monstre » pour son entourage... et ses maîtresses ont été soumises à rude épreuve...
Je reste aussi un peu sur ma faim par rapport a la place annoncée par la quatrième de couverture autour de Nicolas dd Staël.
En résumé, une lecture peu convaincante avec de très bons moments mais peut-être s'adressant a des lecteurs plus « littéraires » que moi : l'écriture est belle mais m'a donné un sentiment de « tourner en rond »
