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Critique de Clodegrans
Vous qui passez par ici, si j'ai un conseil à vous donner, precipitez-vous sur "Les sept ou huit morts de Stella Fortuna". Vous allez vous laisser emporter dans cette saga qui couvre le 20ème siècle et vous allez voyager d'Italie aux États-Unis. le livre comporte des chapitres qui décrivent comment Stella Fortuna échappe plusieurs fois à la
mort. C'est l'histoire d'une héroïne féministe avant l'heure que la vie va cabosser mais qui ne baissera jamais la garde. C'est la vie en Calabre au début du 20ème siècle qui est dure à un point qu'on peut difficilement imaginer. C'est la douleur de l'exil qui colle à la peau de Stella même si elle réussit vaille que vaille à se construire une vie et même si ça n'est pas la vie d'indépendance qu'elle avait rêvée. C'est l'ignominie d'un père qui règne sans partage sur son clan. C'est aussi l'amour que Stella à pour sa mère, indéfectible, intense, lumineux et le chagrin éternel à sa mort. C'est une saga ébouriffante, triste, joyeuse, pleine d'humour, dont vous vous rappelerez longtemps.
mort. C'est l'histoire d'une héroïne féministe avant l'heure que la vie va cabosser mais qui ne baissera jamais la garde. C'est la vie en Calabre au début du 20ème siècle qui est dure à un point qu'on peut difficilement imaginer. C'est la douleur de l'exil qui colle à la peau de Stella même si elle réussit vaille que vaille à se construire une vie et même si ça n'est pas la vie d'indépendance qu'elle avait rêvée. C'est l'ignominie d'un père qui règne sans partage sur son clan. C'est aussi l'amour que Stella à pour sa mère, indéfectible, intense, lumineux et le chagrin éternel à sa mort. C'est une saga ébouriffante, triste, joyeuse, pleine d'humour, dont vous vous rappelerez longtemps.
