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Critique de bbpoussy
Ca fait tellement longtemps que je n'avais pas lu cet auteur.
15 ans ! J'avais arrêté "Miserere" lorsque j'étais enceinte de mon premier car je ne supportais pas toutes les scènes de violence.
Je vois qu'il n'a rien perdu de son goût pour celle-ci et placée à cette époque, avec toutes les horreurs que l'on connait maintenant, ça reste dans le thème.
J'ai aimé le trio qu'a voulu former l'auteur du bout de sa plume.
Franz Beewen, paysan devenu Gestapiste ;
Mina von Hassel riche fifille à papa qui est directrice d'un asile où le papa de Franz est enfermé;
Simon Kraus psychanalyste des bourgeoises allemandes qui ne manquent pas de chevaucher et de faire chanter.
Qu'est ce qui va les relier ?
Quatre femmes vont être retrouvées mortes, éventrées et sans chaussures.
Ces quatre femmes sont toutes passées par le cabinet de Kraus. Elles faisaient toute le même rêve : l'homme de marbre...
Il y a beaucoup de longueurs un peu partout dans le roman. Je l'ai trouvé long à commencer et je dois dire que je m'attendais à plus d'informations sur la guerre mais lorsque ce roman débute, la guerre n'est pas encore déclarée. ^^
Puis, le lien se fait entre les trois protagonistes et j'ai eu envie de savoir qui et pourquoi ces crimes avaient lieu.
Premier rebondissement, second rebondissement et là, je me suis demandée si l'auteur allait nous jouer les zébulons encore tout le reste du roman.
Re-longueur avant un début d'explications.
Puis ce choix de l'auteur, de nous laisser vadrouiller d'un personnage à l'autre, (il le fait tout le long du roman) mais avec les longueurs qu'on a empilées avant, savoir ce qu'ils font durant la guerre, ça fait beaucoup. D'un autre côté, l'auteur nous parle, enfin du déroulement de cette seconde guerre mondiale.
Les détails ne manquent pas, l'auteur est renseigné.
Certains aspects sont connus, d'autres moins. Pour autant, l'atrocité, lorsqu'on sait qu'elle s'est déroulée, donne encore plus froid dans le dos et envie de vomir.
Un peu comme lorsque Mina tente d'arrêter de boire.
Encore un livre à lire au bon moment.
Ames sensibles, abstenez vous.
Par contre, si vous aimez les puzzles, ce roman devrait vous plaire. Il est bien tortueux en plus de décrire les tortures subies par plusieurs des personnages.
Je vais tenter de m'en remettre avec un roman plus léger.
15 ans ! J'avais arrêté "Miserere" lorsque j'étais enceinte de mon premier car je ne supportais pas toutes les scènes de violence.
Je vois qu'il n'a rien perdu de son goût pour celle-ci et placée à cette époque, avec toutes les horreurs que l'on connait maintenant, ça reste dans le thème.
J'ai aimé le trio qu'a voulu former l'auteur du bout de sa plume.
Franz Beewen, paysan devenu Gestapiste ;
Mina von Hassel riche fifille à papa qui est directrice d'un asile où le papa de Franz est enfermé;
Simon Kraus psychanalyste des bourgeoises allemandes qui ne manquent pas de chevaucher et de faire chanter.
Qu'est ce qui va les relier ?
Quatre femmes vont être retrouvées mortes, éventrées et sans chaussures.
Ces quatre femmes sont toutes passées par le cabinet de Kraus. Elles faisaient toute le même rêve : l'homme de marbre...
Il y a beaucoup de longueurs un peu partout dans le roman. Je l'ai trouvé long à commencer et je dois dire que je m'attendais à plus d'informations sur la guerre mais lorsque ce roman débute, la guerre n'est pas encore déclarée. ^^
Puis, le lien se fait entre les trois protagonistes et j'ai eu envie de savoir qui et pourquoi ces crimes avaient lieu.
Premier rebondissement, second rebondissement et là, je me suis demandée si l'auteur allait nous jouer les zébulons encore tout le reste du roman.
Re-longueur avant un début d'explications.
Puis ce choix de l'auteur, de nous laisser vadrouiller d'un personnage à l'autre, (il le fait tout le long du roman) mais avec les longueurs qu'on a empilées avant, savoir ce qu'ils font durant la guerre, ça fait beaucoup. D'un autre côté, l'auteur nous parle, enfin du déroulement de cette seconde guerre mondiale.
Les détails ne manquent pas, l'auteur est renseigné.
Certains aspects sont connus, d'autres moins. Pour autant, l'atrocité, lorsqu'on sait qu'elle s'est déroulée, donne encore plus froid dans le dos et envie de vomir.
Un peu comme lorsque Mina tente d'arrêter de boire.
Encore un livre à lire au bon moment.
Ames sensibles, abstenez vous.
Par contre, si vous aimez les puzzles, ce roman devrait vous plaire. Il est bien tortueux en plus de décrire les tortures subies par plusieurs des personnages.
Je vais tenter de m'en remettre avec un roman plus léger.
