Quatrième tentative avec le père Grangé. Sans doute la dernière. Il faut lui reconnaître le côté addictif de son écriture, lié à l'enchaînement rapide et incessant de péripéties et à un style fondé sur des phrases courtes et rythmées. Sur le fond, il est en revanche difficile de décrire la vacuité du bouquin sans devenir vulgaire. Rien ne tient la route et la fin est complètement ridicule de par son invraisemblance. Ce roman est l'archétype même de la littérature commerciale destinée à enrichir son auteur. Quelle médiocrité! J'avoue ma perplexité face au succès de ce monsieur alors que tant de bons auteurs de romans noirs ne parviennent pas à percer.
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