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Critique de Sorello
un premier tome qui m'avait déçue,
une second qui m'avait plu davantage mais pas emballé.
et pourtant. un final en beauté.
après la bataille de B, l'alliance est affaiblis. Nathan aussi. s'il va bien physiquement, psychologiquement, il s'embourbe dans sa noirceur et se détache des gens qui l'entourent plus encore que d'habitude. mais la guerre n'est pas fini et l'amulette vardienne offre encore la possibilité de gagner.
déjà dans le premier tome, même si l'histoire m'avait déçue, j'avais trouvé les personnages passionnant, le second a confirmé cette idée et ce dernier tome bouleverse. nathan inspire l'empathie, il est trouble, a l'image de son code: moitié noir, moitié blanc. basculant parfois plus vers l'un que vers l'autre. j'ai rarement été aussi intéressé par un personnage principal, surtout dans ce genre d'univers ou je les trouve (en tout cas pour les livres que j'ai lu) souvent tous assez lisse, héroïque sans tâche d'ombre. pour nathan c'est pas le cas, il est au contraire très humain et c'est ce qui le rend génial.
je suis toujours pas totalement convaincu par l'action, comme les tomes précédents nathan passe beaucoup de temps a chercher / attendre quelqu'un ou quelque chose, mais l'aspect psychologique étant plus intense cette fois-ci, franchement ça ne m'a pas perturbé.
difficile d'en parler plus en détails sans spoiler, parce que j'aurais plein de chose a dire. mais dans sa globalité, la saga m'a un peu déçue mais fini parfaitement bien, avec beaucoup de douceur et de poésie, de mélancolie. Nathan est marquant, Gabriel l'est autant. et ce final a clairement rehaussé mon jugement sur la saga.
une second qui m'avait plu davantage mais pas emballé.
et pourtant. un final en beauté.
après la bataille de B, l'alliance est affaiblis. Nathan aussi. s'il va bien physiquement, psychologiquement, il s'embourbe dans sa noirceur et se détache des gens qui l'entourent plus encore que d'habitude. mais la guerre n'est pas fini et l'amulette vardienne offre encore la possibilité de gagner.
déjà dans le premier tome, même si l'histoire m'avait déçue, j'avais trouvé les personnages passionnant, le second a confirmé cette idée et ce dernier tome bouleverse. nathan inspire l'empathie, il est trouble, a l'image de son code: moitié noir, moitié blanc. basculant parfois plus vers l'un que vers l'autre. j'ai rarement été aussi intéressé par un personnage principal, surtout dans ce genre d'univers ou je les trouve (en tout cas pour les livres que j'ai lu) souvent tous assez lisse, héroïque sans tâche d'ombre. pour nathan c'est pas le cas, il est au contraire très humain et c'est ce qui le rend génial.
je suis toujours pas totalement convaincu par l'action, comme les tomes précédents nathan passe beaucoup de temps a chercher / attendre quelqu'un ou quelque chose, mais l'aspect psychologique étant plus intense cette fois-ci, franchement ça ne m'a pas perturbé.
difficile d'en parler plus en détails sans spoiler, parce que j'aurais plein de chose a dire. mais dans sa globalité, la saga m'a un peu déçue mais fini parfaitement bien, avec beaucoup de douceur et de poésie, de mélancolie. Nathan est marquant, Gabriel l'est autant. et ce final a clairement rehaussé mon jugement sur la saga.
