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Et bien voilà, je dois être complètement passée à côté de cet ouvrage... Quelle lecture laborieuse pour un roman qui offrait tant de promesses !
Le théorème des Katherine m'avait attirée car il était référencé comme un roman bourré d'humour... et je n'ai pas ri un seul instant, à peine souri une fois ou deux tout au long des 300 pages.
J'aime pourtant beaucoup de types d'humour différents: le burlesque, le convenu, le cynique, le comique de situation, le bon gros gag téléphoné, voire un peu lourd.... Et pourtant, ici, rien de rien.
Ca arrive, me dis-je. John Green et moi n'étions pas en phase sur ce coup-là.
Et puis, il faut dire que le renvoi constant vers des notes en bas de page, pour tenter de faire de l'humour en expliquant plusieurs situations, qu'est-ce que ça m'a agacée ! Sans parler de la note de l'auteur, en fin d'ouvrage, qui n'a fait que confirmer que décidément, John Green et moi, ça ne colle pas.
Nonobstant cette frustration (trop important pourtant pour que j'apprécie le bouquin), l'histoire en soi était touchante. C'aurait pu être beau de suivre Colin et son pote Hassan dans leur escapade au Tennessee, essayant de trouver une logique mathématique à l'amour, tentant de découvrir s'il vaut mieux être unique ou fondu dans la masse, se raisonnant sur le fait qu'être surdoué ne veut pas dire être un génie qui laissera une marque dans L Histoire... C'aurait pu être beau ce dernier été d'adolescence, les premières questions existentielles, la découverte des richesses que peut receler le passé qui couve bien au chaud dans la mémoire des anciens...
C'aurait pu... Mais pour moi, ce ne fut pas le cas et c'est bien dommage.
Critique de MaggyM
Et bien voilà, je dois être complètement passée à côté de cet ouvrage... Quelle lecture laborieuse pour un roman qui offrait tant de promesses !
Le théorème des Katherine m'avait attirée car il était référencé comme un roman bourré d'humour... et je n'ai pas ri un seul instant, à peine souri une fois ou deux tout au long des 300 pages.
J'aime pourtant beaucoup de types d'humour différents: le burlesque, le convenu, le cynique, le comique de situation, le bon gros gag téléphoné, voire un peu lourd.... Et pourtant, ici, rien de rien.
Ca arrive, me dis-je. John Green et moi n'étions pas en phase sur ce coup-là.
Et puis, il faut dire que le renvoi constant vers des notes en bas de page, pour tenter de faire de l'humour en expliquant plusieurs situations, qu'est-ce que ça m'a agacée ! Sans parler de la note de l'auteur, en fin d'ouvrage, qui n'a fait que confirmer que décidément, John Green et moi, ça ne colle pas.
Nonobstant cette frustration (trop important pourtant pour que j'apprécie le bouquin), l'histoire en soi était touchante. C'aurait pu être beau de suivre Colin et son pote Hassan dans leur escapade au Tennessee, essayant de trouver une logique mathématique à l'amour, tentant de découvrir s'il vaut mieux être unique ou fondu dans la masse, se raisonnant sur le fait qu'être surdoué ne veut pas dire être un génie qui laissera une marque dans L Histoire... C'aurait pu être beau ce dernier été d'adolescence, les premières questions existentielles, la découverte des richesses que peut receler le passé qui couve bien au chaud dans la mémoire des anciens...
C'aurait pu... Mais pour moi, ce ne fut pas le cas et c'est bien dommage.
