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Critique de tremb77
Après avoir lu la série sur les différentes épouses d'Henri VIII, je me suis lancée dans celle sur la guerre des Roses. A moins de bien connaitre l'histoire anglaise, on peut être vite perdu par le nombre de protagonistes, beaucoup ayant bien sur, vu l'époque, le même prénom. Après une recherche pour bien tout me mettre en tête la généalogie et les batailles, on peut souligner le travail de recherche de l'auteur pour restituer une histoire qui colle à la grande.
Marque un peu de fabrique de l'auteur, le récit se fait à la première personne, épousant la personnalité de la reine Elisabeth, épouse d'Edouard IV d'York. Au vu des résumés des prochains tomes, la même période de l'Histoire sera reprise dans la peau des protagonistes permettant un éclairage selon la famille de la narratrice.
La guerre des deux roses, la lutte pour le pouvoir entre des cousins, puis des frères. On se situe à la fin de la guerre de 100 ans, Henri VI (parti des Lancaster, la rose rouge) pris par des crises de démence a perdu le pouvoir en faveur d'Edouard d'York (la rose blanche). le pays est fortement affaibli par ces divisions.
En 1464, Elisabeth Woodville, veuve d'un seigneur pro Lancaster, privée de tout héritage, va demander réparation au roi Edouard IV lui-même. Sa mère Jacquetta de Luxembourg serait une descendante de la déesse Mélusine, ayant pouvoir de prescience et de jeter des sorts selon certains. Coup de foudre ou sort jeté par Jacquetta, le jeune roi épouse en secret Elisabeth alors que ses noces étaient en cours de négociation avec une princesse française par Warwick, le faiseur de rois. Ce mariage clandestin est le point de départ de dissension entre le roi et son ami et cousin Warwick. Son règne va être alternance de batailles et temps de paix pour asseoir son pouvoir, méfiance envers ses amis, son propre frère.
Ce roman permet de découvrir cette période très mouvementée de l'Histoire anglaise jusqu'à la mort d'Edouard IV et la prise de pouvoir par son frère jusque là fidèle. Les sorts et prémonitions de Jacquetta et de ses filles donnent un petit côté fantastique, une petite touche d'originalité.
Marque un peu de fabrique de l'auteur, le récit se fait à la première personne, épousant la personnalité de la reine Elisabeth, épouse d'Edouard IV d'York. Au vu des résumés des prochains tomes, la même période de l'Histoire sera reprise dans la peau des protagonistes permettant un éclairage selon la famille de la narratrice.
La guerre des deux roses, la lutte pour le pouvoir entre des cousins, puis des frères. On se situe à la fin de la guerre de 100 ans, Henri VI (parti des Lancaster, la rose rouge) pris par des crises de démence a perdu le pouvoir en faveur d'Edouard d'York (la rose blanche). le pays est fortement affaibli par ces divisions.
En 1464, Elisabeth Woodville, veuve d'un seigneur pro Lancaster, privée de tout héritage, va demander réparation au roi Edouard IV lui-même. Sa mère Jacquetta de Luxembourg serait une descendante de la déesse Mélusine, ayant pouvoir de prescience et de jeter des sorts selon certains. Coup de foudre ou sort jeté par Jacquetta, le jeune roi épouse en secret Elisabeth alors que ses noces étaient en cours de négociation avec une princesse française par Warwick, le faiseur de rois. Ce mariage clandestin est le point de départ de dissension entre le roi et son ami et cousin Warwick. Son règne va être alternance de batailles et temps de paix pour asseoir son pouvoir, méfiance envers ses amis, son propre frère.
Ce roman permet de découvrir cette période très mouvementée de l'Histoire anglaise jusqu'à la mort d'Edouard IV et la prise de pouvoir par son frère jusque là fidèle. Les sorts et prémonitions de Jacquetta et de ses filles donnent un petit côté fantastique, une petite touche d'originalité.
