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Critique de taxidriver
Le second disciple de Kenan Görgün chez Équinoxe Les Arènes
La surprise de cette rentrée , un roman très noir coup de point , l'auteur belge d'origine turc nous parle de terrorisme avec un réalisme déstabilisant, on va suivre deux protagonistes principaux .
Il y a Vincent qui est en ancien militaire, suite à une rixe dans un bar il se retrouve en prison , en prison il rencontre Abu Brahim qui est en prison pour terrorisme, il est le commanditaire d'un gros attentat , celui-ci va endoctriner Vincent qui deviendra Abu Kassem , l'arme absolu du terrorisme....
Vincent sort de prison et compte bien réussir sa nouvelle mission , un attentat , qui fera date !!!!
Ce qui saute aux yeux très rapidement dans ce roman c'est le style de Görgün, il te pete à la gueule !!! En fait il a eu la capacité de changer de style d'écriture selon que l'on suit Abu Kassem ( avec un style vif et incisif, pour le côté militaire, sur de lui, de sa mission, de sa certitude d'être dans la bonne direction) , que l'on suit Abu Brahim ( avec une narration à la 2ème personne du singulier, on se met à la place du narrateur, qui lui parle nous , se parle-t-il a lui même, ou peut-être Dieu lui même, ou avec des parties écrites en italique avec des flashs back qui nous font découvrir l'attentat de la grande place de Abu Brahim , et plein d'autres petits détails de l'histoire ( mais chut je vous laisse découvrir )
La surprise de cette rentrée , un roman très noir coup de point , l'auteur belge d'origine turc nous parle de terrorisme avec un réalisme déstabilisant, on va suivre deux protagonistes principaux .
Il y a Vincent qui est en ancien militaire, suite à une rixe dans un bar il se retrouve en prison , en prison il rencontre Abu Brahim qui est en prison pour terrorisme, il est le commanditaire d'un gros attentat , celui-ci va endoctriner Vincent qui deviendra Abu Kassem , l'arme absolu du terrorisme....
Vincent sort de prison et compte bien réussir sa nouvelle mission , un attentat , qui fera date !!!!
Ce qui saute aux yeux très rapidement dans ce roman c'est le style de Görgün, il te pete à la gueule !!! En fait il a eu la capacité de changer de style d'écriture selon que l'on suit Abu Kassem ( avec un style vif et incisif, pour le côté militaire, sur de lui, de sa mission, de sa certitude d'être dans la bonne direction) , que l'on suit Abu Brahim ( avec une narration à la 2ème personne du singulier, on se met à la place du narrateur, qui lui parle nous , se parle-t-il a lui même, ou peut-être Dieu lui même, ou avec des parties écrites en italique avec des flashs back qui nous font découvrir l'attentat de la grande place de Abu Brahim , et plein d'autres petits détails de l'histoire ( mais chut je vous laisse découvrir )
