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Critique de jeannedesaubry



On avait déjà suivi dans « Petits Meurtres chez ces Gens-là » le duo de l'inspecteur (ne dites pas l'inspectrice, elle déteste) Lilas Krauss et de l'ex flic Serge Swanze.
En dehors de l'affaire sur laquelle ils se trouvent à travailler ensemble, ils ont un point commun. L'amour de leur progéniture. Plus ou moins sorti de son deuil matrimonial, Swanze s'occupe de Georges, son ado de fils. Lilas, quant à elle, a adopté la petite Méï qu'elle avait sauvé d'un triste destin dans l'opus précédent.
Sur ces bases solides, et alors que Lilas essaie d'oublier qu'elle en pince pour l'ex flic, le duo part à la recherche de l'assassin d'une femme bien sous tous rapports. Neurochirurgienne de renom, gentille, riche mais…moche. Irrémédiablement moche, à tel point que personne n'a jamais cru à l'amour du mari, beau comme un éphèbe. Trop pauvre, le prétendant, trop puissante, la belle famille.
Parmi les proches de la victime, une belle handicapée et son compagnon, kiné. Un musicien fou, qui ne joue que nu devant sa fenêtre pour mieux faire corps avec la musique.
L'intrigue, va, tournicote, sans violence gore, sans débauche de cruauté. On est chez des gens simples, qui aiment manger et boire, dont la vie, solidement assise, parait presque provinciale. On fréquente les estaminets, les parcs, les bibliothèques, des lieux fortement marqués par leur belgitude. Les expressions flamandes qui parsèment le roman donnent une couleur chaleureuse bienvenue aux dialogues où Dulle Griet donne toute leur place aux petits personnages.
[...] la suite sur leblog de Jeanne Desaubry
Lien : http://jeanne.desaubry.over-..
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