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Critique de catherinedaraux
Sylvie Grignon aborde son roman autour de plusieurs problématiques qui nous toucheront tous : la stigmatisation dès l'enfance et ses conséquences sur nos vies d'adultes, le désespoir face au handicap, les sacrifices de la parentalité et, bien sûr, l'amour.
Si les pages sont semées de traumatismes, il en ressort toujours quelque chose de bon, même devant la mort.
L'intériorisation des personnages se fait souvent à travers l'écriture, ce qui leur permet de s'interroger sur leur vie, sans pour autant tomber dans le pathos.
Par le happy end, qui n'en est pas forcément un, l'auteur brouille les pistes pour nous prouver que, même face à l'adversité, la vie peut être belle, si nous nous en donnons les moyens !
L'écriture est simple et légère, et rend la lecture agréable et reposante.
Attention néanmoins à quelques coquilles tout au long du roman qui, si elles ont perturbé votre " grammar nazie" de chroniqueuse, ne devrait cependant pas gêner votre lecture !
Lien : HTTPS://lespartagesdelabouqu..
Si les pages sont semées de traumatismes, il en ressort toujours quelque chose de bon, même devant la mort.
L'intériorisation des personnages se fait souvent à travers l'écriture, ce qui leur permet de s'interroger sur leur vie, sans pour autant tomber dans le pathos.
Par le happy end, qui n'en est pas forcément un, l'auteur brouille les pistes pour nous prouver que, même face à l'adversité, la vie peut être belle, si nous nous en donnons les moyens !
L'écriture est simple et légère, et rend la lecture agréable et reposante.
Attention néanmoins à quelques coquilles tout au long du roman qui, si elles ont perturbé votre " grammar nazie" de chroniqueuse, ne devrait cependant pas gêner votre lecture !
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