Ah, qu'il est doux de se plonger dans les romans de
Virginie Grimaldi !
Un peu, beaucoup de tendresse, dans ce monde de brutes, quelle agréable étape après "
Je suis l'abysse" de
Donato Carrisi.
C'est avec beaucoup d'humour qu'elle décortique une situation qui n'a pourtant rien de drôle, surtout à la fin.
Juliane, qui a un mari , un enfant et une situation stable, accueille son père dont la maison a brûlé. Il est fantasque, c'est le moins que l'on puisse dire. Jusqu'à ce que ses actes fassent penser à quelque chose de plus grave.
Mais il peut compter sur l'amour indéfectible que lui portent ses deux filles qui vont tout faire pour le rendre heureux malgré l'apathie qui le gagne peu à peu.
Le mot de la fin, c'est TENDRESSE.
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