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Critique de Bill
Marceline et Anatole ont emménagé au 1, impasse des Colibris en 1955, en même temps que plusieurs autres jeunes couples charmés par ces pavillons au confort moderne où il allait faire bon d'élever les enfants qui viendraient forcément ...
Soixante trois ans plus tard, ils vivent toujours là, dans cette maison chargée de leurs souvenirs, de leurs joies, de eurs peines, de leurs espoirs, de toute leur vie ...
Ils ne sont plus que 6 des premiers habitants à habiter encore là. Mais tous les six sont bien résolus à défendre leurs maisons et leurs passés lorsque le maire du village annonce que l'impasse va être rasée pour laisser la place à un complexe scolaire - dont la ville et ses plus jeunes habitants ont grandement besoin !
Les octogénaires ne vont pas se laisser faire et mèneront des actions de choc pour ne pas rendre les armes sans s'être battus avec les armes de leur (grand) âge !
Comme dans tous les romans de Virginie Grimaldi, on passe du rire aux larmes, on salue l'énergie et l'humour des protagonistes et la tendresse dont elle enveloppe les personnages.
Au travers du journal de lutte et de souvenirs de Marceline, on revisite sa vie, ses joies, ses tristesses, tout ce qui a fait sa vie auprès d'Anatole, qu'elle a épousé sans le connaître ...
Un roman très vivant, un roman bienveillant qui diffuse de la tendresse et qi fait se sentir bien.
Un roman qui nous place au coeur de ces soixante-trois ans de vie dans l'impasse des Colibris.
Un roman qui pour moi a une résonance supplémentaire, au moment où nous venons de nous séparer de la maison où mes parents avaient emménagé en 1970, j'avais 11 ans, et qui était rempli de ces souvenirs que nous avons partagés ou que nous avons libérés pour leur donner une nouvelle vie ...
Lien : http://les.lectures.de.bill...
Soixante trois ans plus tard, ils vivent toujours là, dans cette maison chargée de leurs souvenirs, de leurs joies, de eurs peines, de leurs espoirs, de toute leur vie ...
Ils ne sont plus que 6 des premiers habitants à habiter encore là. Mais tous les six sont bien résolus à défendre leurs maisons et leurs passés lorsque le maire du village annonce que l'impasse va être rasée pour laisser la place à un complexe scolaire - dont la ville et ses plus jeunes habitants ont grandement besoin !
Les octogénaires ne vont pas se laisser faire et mèneront des actions de choc pour ne pas rendre les armes sans s'être battus avec les armes de leur (grand) âge !
Comme dans tous les romans de Virginie Grimaldi, on passe du rire aux larmes, on salue l'énergie et l'humour des protagonistes et la tendresse dont elle enveloppe les personnages.
Au travers du journal de lutte et de souvenirs de Marceline, on revisite sa vie, ses joies, ses tristesses, tout ce qui a fait sa vie auprès d'Anatole, qu'elle a épousé sans le connaître ...
Un roman très vivant, un roman bienveillant qui diffuse de la tendresse et qi fait se sentir bien.
Un roman qui nous place au coeur de ces soixante-trois ans de vie dans l'impasse des Colibris.
Un roman qui pour moi a une résonance supplémentaire, au moment où nous venons de nous séparer de la maison où mes parents avaient emménagé en 1970, j'avais 11 ans, et qui était rempli de ces souvenirs que nous avons partagés ou que nous avons libérés pour leur donner une nouvelle vie ...
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