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Critique de M4ry
Bien que Marcelline dise que «devenir vieux est un privilège», il faut pouvoir accepter le prix de ce privilège. le prix du corps endolori, du corps fatigué au moindre effort, des muscles qui réagissent moins bien, de la mémoire qui se perd.
Cependant, elle a raison, Marcelline, parce que oui c'est un privilège de ce réconcilier avec ses amis et de partager de telles aventures à quatre-vingts ans.
Ce roman est une belle leçon de vie pour profiter de ceux qu'on aime et de nos plaisirs quotidiens sans pour autant cacher la vérité sur ce qu'implique le vieillissement. La vie est trop courte pour perdre son temps dans les conflits.
J'ai lu ce roman bien après Tu comprendras quand tu seras plus grande ce qui fait que je n'ai pas compris tout de suite que le Gustave, résident des Tamaris, est le même Gustave plein d'humour de l'impasse des Colibris. Je l'ai trouvé à la fois drôle et touchant sans faire le lien avec ce Gustave des Tamaris que je trouvais également drôle et touchant. C'est à la fin du roman, quand le combat contre le Maire est perdu, et que Gustave annonce qu'il va partir dans un EHPAD de Biarritz dans lequel il y a une grande cour que j'ai fait le lien.
J'aime beaucoup l'idée de retrouver des personnages d'un roman à l'autre, ou d'autres références, par exemple une cravate, qui créent des liens dans les différents romans d'un même auteur.
Cependant, elle a raison, Marcelline, parce que oui c'est un privilège de ce réconcilier avec ses amis et de partager de telles aventures à quatre-vingts ans.
Ce roman est une belle leçon de vie pour profiter de ceux qu'on aime et de nos plaisirs quotidiens sans pour autant cacher la vérité sur ce qu'implique le vieillissement. La vie est trop courte pour perdre son temps dans les conflits.
J'ai lu ce roman bien après Tu comprendras quand tu seras plus grande ce qui fait que je n'ai pas compris tout de suite que le Gustave, résident des Tamaris, est le même Gustave plein d'humour de l'impasse des Colibris. Je l'ai trouvé à la fois drôle et touchant sans faire le lien avec ce Gustave des Tamaris que je trouvais également drôle et touchant. C'est à la fin du roman, quand le combat contre le Maire est perdu, et que Gustave annonce qu'il va partir dans un EHPAD de Biarritz dans lequel il y a une grande cour que j'ai fait le lien.
J'aime beaucoup l'idée de retrouver des personnages d'un roman à l'autre, ou d'autres références, par exemple une cravate, qui créent des liens dans les différents romans d'un même auteur.
