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Critique de fredbologsen
Martha Grimes: si vous cherchez une américaine qui rend très bien l'atmosphère "british" de ses romans, c'est elle.
Mais cela ne suffit pas!
Si vous y cherchez de "l'action", vous en trouverez autant que dans un épisode de Derrick, où cette dernière, dans le meilleur des cas, se limite à une course poursuite de péniches sur le Rhin (lol)!
Un roman qui s'étire en longueur sur 400 pages, avec certes ensuite une petite accélération (on passe la 3ème et le turbo ne s'est pas encore enclenché), et une explication sur un fait majeur qui ne tient malheureusement pas la route, pas du tout crédible, et fait passer la police pour une entité ne faisant pas la différence entre un avion de chasse et un kiosque à journaux.
On notera certains dialogues emprunts d'un certain humour-je n'ai pas écrit d'un "humour certain"- , mais n'arrivant pas à en contrebalancer d'autres plus soporifiques qu'une lecture du code pénal.
Dans le dernier tiers, je ne me suis contenté que de lire les échanges entre les personnages, cela n'ayant rien ôté à la compréhension de l'histoire.
J'avais déjà lu il y a quelques années "Les cloches de Whitechappel", qui m'avait laissé un souvenir...euh...comment dire?...en fait bien disparu de ma mémoire.
Mais cela ne suffit pas!
Si vous y cherchez de "l'action", vous en trouverez autant que dans un épisode de Derrick, où cette dernière, dans le meilleur des cas, se limite à une course poursuite de péniches sur le Rhin (lol)!
Un roman qui s'étire en longueur sur 400 pages, avec certes ensuite une petite accélération (on passe la 3ème et le turbo ne s'est pas encore enclenché), et une explication sur un fait majeur qui ne tient malheureusement pas la route, pas du tout crédible, et fait passer la police pour une entité ne faisant pas la différence entre un avion de chasse et un kiosque à journaux.
On notera certains dialogues emprunts d'un certain humour-je n'ai pas écrit d'un "humour certain"- , mais n'arrivant pas à en contrebalancer d'autres plus soporifiques qu'une lecture du code pénal.
Dans le dernier tiers, je ne me suis contenté que de lire les échanges entre les personnages, cela n'ayant rien ôté à la compréhension de l'histoire.
J'avais déjà lu il y a quelques années "Les cloches de Whitechappel", qui m'avait laissé un souvenir...euh...comment dire?...en fait bien disparu de ma mémoire.
